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nu en vélo

Publié par : bineo le 01/05/2021

La période étant peu propice aux rencontres et aux loisirs à cause des confinements, j'ai décidé de me mettre au vélo. Un peu de VTC, histoire de se changer les idées et de profiter du retour du beau temps. Oui, mais se retrouver au grand air, dans les bois avec le soleil du printemps qui darde ses rayons et réchauffe le corps, ça donne des idées.
Ce samedi matin, je m'en vais donc faire mon tour dans un rayon de moins de 10 km. J'emprunte la route jusqu'au parking le long d'une aire de pique-nique et j'entre dans le bois. Après quelques minutes, mes envies me titillent et je me dis que pédaler nu doit être agréable. Après tout, je dois être seul dans ce bois, je n'ai vu personne. Ni une ni deux, j'enlève tout, je range ça dans la sacoche de guidon et je repars. Quelle sensation, hummm, le léger vent caresse ma peau, la selle masse mon périnée, j'en ai une semi-érection tellement ça commence à m'exciter. J'en profite un peu pour frotter ma rondelle sur le bout de la selle, un petit massage anal pour rajouter à mon excitation. Je pédale ainsi de longues minutes, en changeant de direction plusieurs fois. Je me dis qu'il est temps de se diriger vers le retour.
Soudain, je sens une présence derrière moi. Je me retourne et découvre un autre cycliste qui me suit d'assez près. "Bonjour, désolé de vous avoir surpris mais j'admirais la vue". Tout en parlant il arrive à ma hauteur et ajoute "waow, le vélo vous fait de l'effet !!!". Il est vrai que mon érection est clairement visible. Moi, gêné, je ne sais quoi dire à part "c'est moi qui suis désolé, je croyais être seul. Je vais me rhabiller." Je m'arrête et descends du vélo, que j'appuie à un arbre pur sortir mes fringues. Là, il m'a suivi et me regarde : "vous savez, ça me plairait d'essayer aussi. Vous voulez pas m'accompagner un bout de chemin ?". Je ne sais pas pourquoi, sans doute l'excitation qui montait, j'accepte. Aussitôt, il se met à poil. J'en profite pour le mater (chacun son tour !). Il est bien fait, une jolie queue toute lisse comme j'aime. Et en plus, elle est dressée en l'air, j'admire ce gland bien dessiné qui pointe vers le ciel : "eh ben, elle se fait pas prier celle-là." Il ne répond pas, mais je remarque que ses joues se sont empourprées, je pense qu'il est embêté par l'impossibilité de contrôler sa queue. Il n'a pas de sac donc je prends ses affaires dans ma sacoche. Sans attendre, il enfourche son vélo et nous voilà partis côte à côte.
- "Alors, c'est bon, hein ?
- Oh oui, j'adore, on se sent libre
- Tu n'avais jamais essayé ?
- Non mais j'en avais envie
- Oui je vois ça, (il a la bite raide et je crois apercevoir un filet de mouille)
Il rougit encore, je crois, alors je décide de voir jusqu'où il est prêt à aller en reprenant le massage de ma rondelle.
- Regarde ce que j'aime faire. C'est délicieux, en pédalant, de sentir cette pointe contre la rondelle, c'est super excitant. Tu devrais essayer, hummmm.
J'insiste tellement que je me mets à bander comme un cerf en rut.
Il n'en perd pas une miette et ralentit même pour mieux observer comment je fais. On arrive à un carrefour, où un coin repos avec un banc et une table est aménagé. Je lui demande : "on fait une pause ?". Il s'arrête et se dirige devant moi vers le banc. On appuie les vélos. J'en profite pour sortir ma gourde. Quand je me retourne, il est assis, le dos contre la table, la queue toujours bien droite. D'ailleurs, ma libido fait aussi des siennes car je mouille aussi. Je m'avance vers lui et entame la conversation, je reste debout devant lui. Ma bite est à hauteur de ses yeux, il a du mal à ne pas la mater. J'avance au plus près, il lève les yeux, l'air gêné. Je saute sur l'occasion : "elle te plaît ?". Il secoue la tête "oui, elle est belle, toute lisse". Ce à quoi je réponds : "comme la tienne, c'est plus agréable à caresser et à sucer". Il ne lâche plus ma bite des yeux. Je me lance : "tu la veux, vas-y, elle n'attend que ça". Et je lui colle mon gland à dix centimètres du visage. Il rougit mais sa main s'en empare et commence à me masturber. Il n'ose plus me regarder. Il me branle quelques instants et soudain, sa bouche vient happer mon gland. Sa langue titille mon méat, puis chatouille mon prépuce, il fait le tour du gland, lentement, tendrement, puis il enfourne ma queue, ses doigts enserrent l ...

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