Je suis nudiste. Je vis et reçois nu chez moi. Mes amis le savent et je préviens toujours les personnes qui doivent venir, comme les livreurs par exemple.Je comprends que certaines personnes puissent être dérangées par la nudité. Alors, je n'impose pas la mienne.

C' est ce que je comptais faire concernant l'ouvrier qui devait passer pour refaire le plafond de ma chambre.

Lors de la première rencontre pour le devis, on avait rendez-vous devant chez moi. C'était un mec de la trentaine, les cheveux tout bouclés sur le dessus, mais déjà grisonnants.

J' arrivais de la ville, habillé évidemment. Et la question de la nudité ne s'est pas posée ce jour-là. Il a simplement fait son devis et ce n' était pas le moment d'en parler.

Deux jours plus tard, il me rappelle pour me donner les modalités des travaux et leur durée. Dix jours. Compliqué pour moi de rester habillé si longtemps, surtout chez moi. C'est à cette occasion que je lui ai expliqué vivre nu et il m'a répondu :

"Je m'en bats les couilles. Je viens pour bosser. Vous faîtes votre vie chez vous."

Sa réaction était inattendue, mais je m'en suis satisfait.

La semaine suivante, il arrive donc pour commencer son travail. Je descends lui ouvrir la porte, nu cette fois-ci. Il lève les sourcils et me regarde de haut en bas.

"Ah oui ! À l'aise dès le matin !

- À l'aise tous les jours...

- Vous avez raison. On est à la maison !"

De son côté, il portait une veste polaire orange (comme quoi on peut être plus frileux que d' autres), un treillis kaki avec une ceinture qui ne serait pas grand chose puisque son boxer bordeaux était apparent sur une dizaine de centimètres.

L'échange s'est arrêté ici. Il est monté dans la chambre, a posé son échelle, fait quelques aller-retour pour transporter son matériel et finalement fermé la porte, pour protéger le reste de l'appartement de la poussière.

Il est resté correct. Il ne semblait pas faire plus attention que ça au fait que je sois nu.

Ceci dit, il venait régulièrement pour me demander un service. Lors du dernier j'ai vu qu'il n'avait plus sa ceinture, elle était enroulée dans un coin par terre. Il avait certainement une bonne raison d'avoir fait ça. Mais son pantalon tombait encore plus. J'ai pas cherché à en savoir davantage.

Un quart d'heure plus tard je l'entends m'appeler à travers la porte. Lorsque je rentre dans la chambre, il est de dos à mi hauteur sur son échelle, le pantalon à moitié des fesses et plus de boxer ! J'ai parcouru la pièce du regard, je le l'ai pas vu.

La scène était inattendue et une goutte de mouille est rapidement sorti de mon gland.

"Je peux vous demander un service ?

- Oui ?

- Vous pouvez me remonter le pantalon ?

- Vous remonter... Le pantalon ?!

- Il est en train de se barrer."

La situation m'excitait de plus en plus. Mon sexe commençait à durcir. Sans doute que je devais me laisser aller. C'était peut-être un signe de sa part.

Je m'approche de lui l'air moqueur :

"Il fallait pas enlever la ceinture..."

Il a eu un petit gloussement.

"Au point où ça en est, je vais pas vous le remonter, mais le descendre en plein.

- Oui, allez !"

Ah bon ? Ça ne le dérange pas en fait.

J' arrive à sa hauteur, j'ai ses fesses au niveau de mon visage. J'agrippe son pantalon à hauteur de ses hanches et je le lui baisse jusq'aux genoux pour révéler son cul. Il est blanc, bombé, des poils noirs par-ci pa ...

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