Aujourd'hui je suis à Paris pour mon travail. 9a fait longtemps que j'ai déménagé de la RP et en venant ici je travaille juste à coté d'un lieu que je fréquentais dans ma jeunesse et à fait remonter des souvenir dont celui qui suit.
Cela s'est passé il y a un longtemps, j'avais fini l'armée depuis quelques mois donc vraiment dans ma jeunesse. J'avais retrouvé un boulot où je finissais tard. Je louais une petite dépendance d'un pavillon avec tout le confort en région Parisienne, une cour me séparait des propriétaires, donc ce qui me laissait assez de liberté. C'était la mi-août, vendredi presque 22H, je rentre du travail, je prends ma douche et me frotte partout avec le savon, ma main passe entre mes fesses et mon index trouve l'entrée de mon petit trou, le dilate un moment et un deuxième s'y glisse. Cela me fait penser qu'il y a longtemps que je ne me suis pas fait une beauté. C'est parti pour la crème dépilatoire, pendant qu'elle agit je me rase le visage de très prêt, ceci fait je repasse sous la douche nettoyer tout ça. Puis crème sur tout le corps, c'est dingue mais de me sentir si lisse me donne des sensations de féminité. J'ai envie de plus je trouve une petite bombe de déodorant d'un petit diamètre et me l'introduit difficilement au début puis avec le savonnage elle va et vient aisément. Ma langue joue avec mes lèvres, je me branle d'une main et de l'autre je me sodomise avec ce petit objet, je jouis rapidement. Je n'ai pas trop sommeil alors je me maquille, j'enfile un body en dentelle blanche plutôt transparent rembourré par des prothèses adhésives offertes par une tante lors de vacances chez elle vers mes 17 ans (peut-être une autre histoire plus tard). Je me fais une coiffure féminine à la "garçonne" car mes cheveux ont un peu repoussé mais pas de quoi faire une queue de cheval non plus. Je me sens bien ainsi. C’est le week-end à rallonge du 15 Août, qui tombe un lundi, j'avais tout prévu donc le frigo et le placard plein étant plein je n'ai pas besoin de sortir et ni de voir du monde, sachant que la plupart de mes potes sont partis. De mémoire les propriétaires m'ont dit qu'ils ne seront pas là du week-end non plus. J'attrape le vernis et je me fais les ongles des pieds et des mains pour le coup. J'enfile des sandales ouvertes de sept centimètres afin de voir ce beau vernis rouge, et me balade ainsi dans mon studio.
Malgré ce petit plaisir solitaire que je me suis prodigué, j'ai envie de plus maintenant que je me sens femelle. Il est un peu plus de minuit, je me dis " j'irai bien faire un tour à Paname, où pendant mes permissions militaires j'avais trouvé une Transsexuelle avec qui j'avais sympathisé et quand j'étais fauché et que la nuit se finissait pour elle, nous terminions ensemble chez elle juste pour un plaisir mutuel. Aller, j'attrape une jupe en jean et enfile un chemisier par-dessus mon body, je charge un sac à main du petit nécessaire et de mes papiers. J'enfile des ballerines pour ne pas faire de bruit en sortant de chez moi et traverser la cour, surtout pour ne pas réveiller le voisinage avec mes talons et me faire griller habillée en fille. Donc je sors sandales à la mains, monte doucement en voiture change de chaussures et direction Paris. Fenêtre ouverte je profite de la douceur nocturne jusqu'aux quartiers chaud de la ville, Pigalle toujours animé, le moulin rouge, les vitrines des sexshops et des bars de nuits sont tous illuminés. Je passe la place Clichy et descend le boulevard, je fais plusieurs fois le tour mais je n'y trouve pas ma copine, pourtant j'ai de quoi la payer maintenant que je bosse. Il y a pas mal de jolies transsexuelles sur les trottoirs et surtout beaucoup de voitures qui s'arrêtent. Ne voyant pas ma copine je me dirige vers une créature que j'ai aperçu un peu seule dans un coin et très jolie. Elle passe la tête par la portière et m'annonce le tarif avec son accent brésilien, pas sûre qu'elle est vu ma tenue, d'un signe de tête elle comprend mon acceptation, ouvre la portière et s'installe. Elle m'indique le chemin pour aller chez elle, sur le trajet elle me regarde et s'étonne. Le temps de faire le tour du quartier et trouver une place elle entame la conversation et passe une main sur ma cuisse en remontant le long de ma jambe. Du coup je la regarde sans trop quoi dire.
- Oh mais tu es en jupe. Tu es maquillée aussi, tu aimes te travestir ?
- Oui de temps en temps.
- Tu es jolie comme ça.
- Merci c'est gentil, mais tu es bien plus jolie. Ça te gène que je sois habillée en femme ? Lui dis-je.
- Au contraire, ça me changera des machos qui jouent les durs et qui sont violant dés fois.
On arrive, je trouve une place, on descend, je prends mon sac à main et comme ce n'est pas juste à côté de son appartement elle m'attrape par le bras comme une copine.
- Tu as même un sac à main, habillée ainsi tu pourrais aller faire le trottoir et gagner de l'argent plutôt que venir le dépenser ! Tu es chou en tout cas, ne fais pas de bruit dans les escaliers s'il te plait avec tes chaussures, me demande t'elle en arrivant devant l'entrée de l'immeuble.
Puis le plus doucement possible je suis cette belle créature montant les étages dans des escaliers étroits jusqu'à son appartement. Je profite pour regarder son déhanché, ses fesses rondes et aussi ses jambes magnifiques que j'ai hâte de caresser. Quand nous entrons dans son logement on croise une consœur qui raccompagne un client, elles se parlent en Brésilien et ce fameux client nous observe d'un regard envieux, se posant surement la question de savoir si nous étions deux putes qui faisions une pose. Roberta mon accompagnatrice du moment me fait entrer dans sa chambre, plutôt sommaire mais confortable avec un éclairage tamisé, seule la lumière de la salle de bain est puissante. Elle ferme derrière elle et s'approche de moi. Nous commençons à nous caresser, sa main descend directement sous ma mini-jupe afin d'y trouver mon sexe qui est enfoui sous mon body. De mon côté je m'attarde sur sa poitrine qui je pense doit être un bon 95C, elle n'a pas de soutien-gorge et sont bien fermes grâce au silicone. Je dégrafe son chemisier et lui lèche les tétons pendant qu'elle me masturbe suite au déboutonnage de mon body. Doucement elle a pris place devant mon sexe tendu en s'accroupissant et le prenant en bouche. Après m'avoir demandé de m'allonger sur le lit, elle se positionne en soixante-neuf, m'offrant ainsi son sexe à sucer. Pendant que son sexe gonfle dans ma bouche, elle continu de me sucer et me lubrifie la rondelle en m'y introduisant un doigt puis deux humidifiés de sa salive. Ma queue étant bien dure, Roberta se retourne et me présente ses fesses pour que je la pénètre. Je la sodomise un petit moment allongé sur son dos et la branlant aussi d'une main jusqu'à ce que je m'accroche à ses hanches pour jouir au fond d'elle mais dans le préservatif qu’elle m'avait enfilé. Puis elle me demande si elle peut m’enculer, je n’attends que ça et me positionne à quatre patte, elle me lèche la raie la lubrifiant copieusement et y introduisant encore ses doigts puis sa langue. Elle se chapote d'un préservatif avant de me pénétrer délicatement. Elle me lime doucement me flattant, ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur