A force de lire des histoires érotiques et de regarder des films pornographiques, on finit par perdre pied avec la réalité. Toute situation se transforme dans ma tête en une situation de potentielle aventure sexuelle. Cela devient presque dangereux, mais quand le fantasme rejoint la réalité, alors là… c’est l’extase totale.
J’habite tout près et en surplomb d’une route assez passante. Juste devant chez moi, de l’autre côté de la rue, il y a un petit espace mal entretenu mais que la police nationale affectionne particulièrement pour venir poser leur caméra et viser les chauffards qui circulent sur la voie en contrebas. Ils se font arrêter 300 m plus loin.
Un après-midi d’été, je remarque un jeune policier bien bâti, type brun ténébreux, à l’affut avec son radar mobile. La chasse doit être bonne car il passe son temps à appeler ses collègues pour les prévenir du passage imminent des chauffards. Je reste un long moment derrière ma fenêtre à le regarder, à admirer même sa silhouette virile en tenue de motard. Le lendemain, bonne surprise ! à la même heure, il est à nouveau à son poste et je me délecte à nouveau de sa plastique.
Le soir, en me déshabillant pour me coucher, je pensais à lui et en ôtant mon boxer ; une idée un peu bizarre mais terriblement excitante me vint à l’esprit. Si avec un peu de chance, il revenait le lendemain …
Un peu avant l’heure habituelle de son arrivée, je traversai la rue, à la main le boxer que je portais la veille. L’air de rien, je regardai autour de moi et lâchai négligemment mon boxer qui tomba à l’endroit précis où mon policier devait venir se garer et je rentrai chez moi rapidement. Je ne savais pas précisément ce que je pouvais espérer, mais l’idée qu’il soit ainsi tout proche de mon boxer porté m’excitai au plus haut point.
A l’heure prévue, mon policier garait sa moto. Les feux de l’excitation envahirent mon ventre aussitôt. Il resta un instant sur son engin, sans bouger, comme s’il observait quelque chose. Puis, il descendit de sa bécane, enleva ses gants, regarda à droite puis à gauche et d’un geste rapide se baissa pour ramasser mon cadeau. Discrètement, il le scruta, le manipula sans doute pour en estimer la taille, la forme laissée par mon paquet, et soudain il s’en frotta l’entre-jambes. Il devait bander à manipuler ainsi mon sous-vêtement. Puis, s’étant caressé le paquet, il se porta à son visage et le renifla avant de l’enfouir précipitamment dans l’une de ses poches. J’imaginai l’état dans lequel il devait se trouver et cela m’amusait et m’excitait à la fois. Il restait environ ¾ heures habituellement et dès que je le vis commencer à démonter le pied de son radar, je sortis de la maison et me dirigeai vers lui, le cœur battant.
- Bonjour. Excusez-moi de ...

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