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Premier Emois (suite 2)

Publié par : cocofesse le 30/06/2024

Quelques jours passèrent après cette première aventure. Il faut dire que je ne pensais qu’a ça, nuit et jours. J’avais des érections en permanence Mon corps était en ébullition.
Un après midi, j’allais me cacher près du lieu ou j’avais fait cette rencontre pour savoir vers quelle heure il passait. 16h30 tapante. Le lendemain et durant deux jours je fis de même sans oser me montrer. A cinq minutes près, une vraie horloge suisse. A chaque fois que je le voyais, je retirais mon short et me masturbais en pensant à son sexe révélateur de plaisir. Il fallait que je recommence.
Mes cousines habitaient le même quartier et avions l’habitude d’aller librement d’une maison a l’autre. On jouait et mangions souvent ensemble. J’avais pris la décision de me travestir en fille et retourner voir mon Marocain puisqu’il m’avait dit que j’étais très belle. Cela eu pour effet de me chambouler complètement et augmenta mon excitation.
J’avais l’habitude de voir mes cousines se maquiller et s’habiller pour faire femme. Il me fallait du maquillage et une belle robe. Un plan commença à se dessiner dans ma tête. Pour le maquillage, facile puisqu’on allait et venais dans toutes les pièces de nos maisons. Un après-midi ou je savais que mes cousines étaient à l’école, je m’immisçais dans la chambre de la plus grande et ce fut facile de prendre un rouge à lèvre. Pour le reste je ne me sentais pas capable de me l’appliquer. Cela fera l’affaire pour un début. En sortant je me dirigeai vers l’étendoir qui était derrière la maison et de plus, caché par une grande haie. Tout ce linge virevoltait au vent et je n’avais qu'à choisir. Je me dirigeai vers une robe bleu ciel très claire et courte. Je me souviens qu’on voyait en permanence la culotte de ma cousine quand elle la mettait.
Je la décrochais et allais l’essayer dans le petit bois derrière. Je me mis nu et commençais à l’enfiler. Mon corps était menu, mince et longiligne. Pas plus grand que ma cousine. Je faisais du 34 en taille avec le ventre légèrement en creux. Waouuuh, elle était faite pour moi. Magnifique. Le simple contact du tissu me procura une érection qui ne voulait plus disparaitre. J’étais excité et me masturbais pour la troisième fois aujourd’hui. Je mis tout cela dans un sac plastique et rentrai chez moi par le petit chemin qui me séparait de ma maison pour cacher mon trésor.
C’était aussi la fin de l’année scolaire et j’étais libre d’aller et venir du matin au soir. Une seule obligation, l’heure des repas.
Cela faisait une dizaine de jours que je n’avais pas vu mon amant et je n’en pouvais plus de désir, il fallait que je ressente à nouveau ce besoin de plaire et de découvrir d’autres aspects de ce qui me consumait.
Le lendemain, j’avertis ma mère que j’irai rejoindre des amis au lac pour me baigner. Elle travaillait tous les après-midis comme secrétaire chez le médecin du village. La maison serait vide.
Je prenais une douche pour me laver mais aussi pour me rafraichir. La chaleur augmentait de jour en jour. Je devais être propre et devait sentir le savon et le parfum que j’empruntais à ma mère. A 16h00 je pris une serviette, la petite robe que j’avais délicatement pliée et une bouteille d’eau. J’avais aussi pris un miroir rond qui trônait toujours dans le garage de mon père. Au moment de partir je fis demi-tour et récupérai 2 mouchoirs dans une armoire et je claquais la porte derrière moi.
J’étais prête.
Il fallait un quart d’heure par les bois entre ma maison et l’arbre ou je l’avais rencontré la première fois. Le chemin était une vingtaine de mètre plus bas. Je me cachai dans les fourrés et j’entendis le tintement de la cloche de l’église qui sonna 16h15. Il fallait que je me dépêche.
Je fus nu en quelques secondes et j’enfilai avec délicatesse cette petite robe qui augmenta mon excitation. J’avais oublié de prendre une culotte a ma cousine. Tant pis, nu dessous. Vite la glace et avec des gestes de novice, une peu de noir sur les yeux. Très léger car je ne savais pas trop comment faire. Ce fut plus facile pour le rouge a lèvre. Il était rouge vif et je me trouvai très belle. Je tremblai aussi d’excitation. Et s’il ne passait pas aujourd’hui ?
J’attendis derrière l’arbre. Pas plus de cinq minutes passèrent. J’entendis le pas d’une personne qui marchait sur le chemin en contre bas. Et si ce n’est pas lui ? Je me cachai derrière l’arbre et laissai juste dépasser ma petite tête. C’était lui, il marchait d’un pas nonchalant. Je sortais de ma cachette et il tourna les yeux vers moi. Un grand sourire lui fendait le visage, il s’approcha de moi. Je n’avais pas remarqué qu’il avait les yeux clairs. J’était autant terrorisé qu’excitait. Qu’allait -il se passait ?
Il me dit « Alors ma belle de retour, j’ai pensé a toi tous les jours et je me suis dit que tu ne reviendrai peut être plus »
« Avec l’école, ce n’était pas facile de trouver du temps » répondis je
« Laisse moi te regarder, tu es aussi belle qu’une fille, même plus et avec ton maquillage on dirait une poupée. Tu es venu pour moi ? »
« Oui bien sur »
« Bien allons un peu plus haut car nous sommes trop proche du chemin »
Il prit le sac a dos et la couverture que j’avais pose au sol. Il me prit par la main et nous nous sommes éloigne d’une centaine de mètre. Il y’avait une jolie clairière mi ombre mi soleil et il déposa la couverture.
On ne s’est pas présenter la dernière fois. Mon prénom c’est Younés. Et toi ?
Je n’y avais pas pensé, vite un prénom de fille. Lola répondit je au hasard.
C’est jolie Lola. Il me prit par la taille avec ses grandes mains qui faisait le tour. Il m’invita de me mettre à genoux devant lui. Il était grand, lui était assis normalement et il me dépassait d’une tête. Alors Lola, tu veux être ma femme tout le temps que je serai ici ? Mais ce sera un secret, tu comprends ? Je n’en demandais pas tant, tout était parfait.
Oui lui répondis comme à une demande en mariage. L’idée me désarçonna. J’avais un home et je serai sa femme.
Il enleva sa chemise. Il était sec et musclé sans poils avec un dos énorme comparé a mes petites épaules de juvénile.
Il s’approcha et m’embrassa sur la bouche. Il sentait bon le propre et ses lèvres avaient le gout du tabac. Il continua en descendant sur mon cou. Ce fut comme une décharge électrique. J’étais sous son emprise de male. Je lui posai mes petites mains sur ses pectoraux bombés et le caressait. Il remonta jusqu'à mes lèvres et pendant qu’il me farfouillait avec sa langue, je luis enserrai le cou de mes bras maigres. Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Je me détendis de plus en plus au point de me laisser submerger par le plaisir d’être un vrai femelle.
Il arrêta et décida d’enlever son pantalon et son caleçon. Il était nu maintenant avec un sexe magnifique. Il me prit les mains et les approcha de son tresor. Je savais quoi faire. Avec mes petits doigts je luis effleurait le gland. Il poussa un gémissement de plaisir. Je lui pris la hampe et avec des mouvements lents je montais et descendais. J’étais dans un état second d’excitation. Je prenais ses testicules dans ma main. Trop petite, il fallait les deux. Sa bourse était énorme et dépassait de mes doigts. Il gémissait et ferma les yeux pendant tout ce temps.
A un moment, il s’allongea et me fit asseoir avec les jambes légèrement pliées. Il souleva cette petite robe minuscule qui ne cachait rien. Il me caressa les cuisses et remonta jusqu'à mon tout petit sexe qu’il caressa. J’étais dans une troisième dimension. Il remonta sa tête et me goba le peu de virilité qui émanait de moi. Je poussais des râles et ma respiration s’accélérai. Je serai toujours une femme, c’est décidé. Il me remit à genoux et se releva. Son sexe au niveau de ma bouche. J’avais compris que je devais lui rendre la pareille. Je voulais lui faire plaisir.
Il était encore plus impressionnant de près. Un sexe long et large avec un gland énorme. Il y’avait de grosses veines qui lui parcourrai la hampe. Moi je n’avais rien de cela. Qu’importe, ce n’était pas un sexe mais un clitoris maintenant. Chacun a sa place. Je le pris en bouche mais ne pouvait l’enfoncer très loin. Et pour ne pas le blesser, ma bouche devait être en extension. Il avait le gout du propre et j’aimais cette odeur de male, ça me bouleversait. On continua comme cela quelques minutes, mais ma mâchoire n’en pouvait plus.
On arrêta quelques minutes le temps de récupérer un peu ma mâchoire.
Il me déshabilla et me dit de remettre un peu de rouge car cela l’excitait terriblement. Je m’exécutais. Il me parla de lui et me dit qu’il était technicien en réseau informatique au Maroc mais dans son village pas de travail. Pour aider sa mère il venait régulièrement en France pour ramasser les fruits ou faire les vendanges. Il ne dépensait presque rien et il partait avec un petit pécule conséquent pour là-bas. Ici il vivait avec un ami dans une petite casemate en pierre bien restaurer par le paysan ou il y’avait toutes les commodités. Il payer un tout petit loyer plus pour l’entretien et les charges qu’autre choses. Il était satisfait. Et toi a par ê ...

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