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Première mise au tapin

Publié par : bianca le 07/11/2021

Première mise au tapin.

Après mes premières fois avec mon éducateur, j’eu tout le loisir de faire quelques rencontres avec des hommes qui me contactaient sur le site, ils m’exposaient leurs envies, et je réalisais leur désir en me rendant chez eux pour leur servir à loisir, d’écolière, de secrétaire de soubrette ou de bourgeoise guindée, tantôt pour qu’ils se vident sur mon visage, dans ma bouche ou me souillent mes habits classe avec leur semence. Cela faisait un moment que je n’avais pas eu de nouvelles de mon éducateur quand je reçu un petit message sur le site.

Comme à son habitude, il fut cru dans ses écrits et me demanda de venir le voir en petite salope pour qu’il puisse copieusement se vider les couilles et me marquer de son foutre. Rendez-vous pris pour le samedi soir.

Pour plaire à mon vicieux, je choisis une jolie tenue, des bottes blanches à lacet, des bas brillants couleur chair, tenus par une porte jarretelle brillant couleur champagne assorti avec le string et le soutien-gorge. Je mets une minijupe plissée blanche en satin accompagné d’un petit haut blanc en satin brillant à col montant, laissant apparaitre mon nombril. Je mets une perruque blonde assez longue avec un maquillage assez marqué. Je suis un peu moins vulgaire que la dernière fois.

Je prends la route, direction la débauche. Arrivée chez mon vicieux, il m’attend en bas de son perron, habillé, chaussé avec une veste et les clés de sa voiture en main. Je gare ma voiture, sors et m’approche de lui, il me toise et me que dit l’on peut s’embrasser pour se dire bonjour. Je m’approche de lui pour poser un baiser sur ses lèvres quand il me saisit par les épaules et grommelle. « pas la salope, tu n’es bonne qu’à embrasser ma bite ou me lécher le cul ». Le décor est planté, je m’agenouille le débraguette et enfourne son sexe dans ma bouche. Comme à son habitude, il me prend par ma crinière blonde et me fait coulisser sur sa bite. Il me flatte en me disant que je suce toujours aussi goulument, et que je suis bonne et sexy habillée ainsi.

Une fois les salutations avec sa bite, je me relève remet ma jupe et mes bas, mon violeur de bouche, m’annonce avec un petit sourire, que nous allons faire un tour en voiture. Pas rassurée, étant jusqu’à présent une travestie de salon, je lui demande ou nous allons, n’aimant pas apparaitre ainsi en public. Il me laisse dans mon désarroi et m’invite à monter en voiture. Je passe donc devant lui, il en profite pour tâter la marchandise et me passe une main sous ma jupe. Je monte dans sa BMW côté passager. Pour le coup, entre ma tenue, la voiture et mon conducteur, j’ai l’impression d’être avec un proxénète. Nous démarrons donc et prenons la route.

Sur le chemin nous parlons des précédentes fois. Son ami Claude m’a beaucoup apprécié, il me complimente sur mes tenues et mes talents de fille, cette coversation m’apaise et je pense moins a cet endroit inconnu ou nous allons. La campagne défile à travers la fenêtre sur cette route départementale. Je regarde le panneau du village que nous venons de quitter, il y a inscrit « Chamagnieu » Ce nom me dit quelque chose. Nous entrons dans une série de virages, puis mon pervers me dit, nous arrivons à l’ endroit que j’ai choisi Bianca. Je reste interloquée, c’est la première fois qu’il m’appelle par mon prénom. Je lui demande de m’en dire plus. Il me répond en souriant. « je t’ai toujours dit que tu étais une pute, une catin, une tapineuse, et que tu étais faite pour avaler toutes les bites qui passaient et donner ton cul. Et bien cette fois çi, tu vas le mettre en pratique, tu vas faire le tapin, mais tu seras une pute gratuite ». Mon cœur bat la chamade et mes jambes flagellent, un sentiment de peur et d’excitation se mêle. La voiture se gare sur un parking en contrebas de la route, il éteint les phares et me lance pour te détendre « tu vas me sucer un peu, ça t’excitera et tu mouilleras du cul, ça sera mieux ». Il abaisse son siège, dégrafe sa ceinture, me voila le nez dans ses poils pubien à le sucer au volant de sa voiture sur un parking à la réputation sulfureuse. Je suis en train de devenir Bianca, pute à routier.

Au bout de 5 minutes passé à lui administrer une belle fellation profonde, il me relève la tête et me dit, aller, il est temps d’aller tapiner. Il m’indique un petit chemin en terre et caillouteux perpendiculaire à cette aire ou je pourrais m’occuper de mes clients. Je sors de la voiture, je n’en mène pas large, mais je me dis qu’après tout, c’est un fantasme qui mérite d’être réalisé. Je reprends du courage, et je roule du cul tout en allant à ma place. Le parking est assez calme, mon pervers est au volant de sa voiture en face de moi, je suis installée faisant le pied de grue, je me dis que bien qu’ayant arrêté, je fumerai bien une cigarette. Je pense également à ce moment, que je suis habillée tout en blanc, et que par conséquent, on ne pourra pas me louper dans l’obscurité.

J’entends les moteurs des voitures qui arrivent d’un côté comme de l’autre, soudain, on entend un véhicule ralentir. Je l’entend nettement s’engager sur l’aire de repos. Il ralenti, avance tout doucement, puis s’arrête et se gare. J’entends une portière claquer et des bruits de pas. Mon s ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Sodomie, Odeurs, Trav, A plusieurs