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Premières pulsions incestueuses ....

Publié par : elena75 le 23/03/2021

Ma fin de semaine se passe normalement et je ne reçois aucune nouvelle de monsieur Dubout. Une fois rentré à la maison le vendredi après-midi, ayant un peu plus d’une heure avant le retour de ma mère, je décide de faire quelques photos de moi en femme pour illustrer ma page perso sur le site Placelibertine où je me suis inscrit en tant que Davina.
Dans l’armoire de ma mère, je choisi un soutien-gorge dont les bonnets sont très rembourrés de manière à me faire une sorte de petit poitrine. Puis je sélectionne une jupe assez courte et un chemisier. Une fois perruquée, maquillée, chaussée et parée de mes sous-vêtements et vêtements féminins, je prends mon téléphone que je pose sur mon bureau dans ma chambre et je me sers du retardateur pour déclencher à distance. Je commence par faire quelques photos très sobres puis je retire jupe et chemisier pour une série un peu plus osée. Cela m’excite de me prendre en photo et je pense à monsieur Dubout qui serait certainement ravi de tenir l’appareil photo. Une fois les photos prises, je me change rapidement puis reviens derrière mon ordinateur pour mettre les meilleures prises en ligne sur le site. Aussitôt j’ai quelques messages dont un de Jean75 qui m’écrit « Jolies photos ma belle. » Je n’ai pas le temps de lui répondre car ma mère arrive.

Le lendemain matin, nous sommes samedi et, alors que je reviens du boulanger avec une baguette sous le bras, je tombe sur monsieur Dubout devant notre immeuble. Il m’entraîne un peu à l’écart et me dit
- Bonjour David. J’ai besoin que tu me rendes un petit service.
Je lui réponds
- Oui pas de souci si cela m’est possible.
Il poursuit
- Ce n’est pas très compliqué ! Mais c’est un peu spécial !
Il hésite un instant puis se lance
- Voilà, je voudrais que tu me fasses quelques photos érotiques de ta mère. Elle est très sexy et j’aimerais quelques poses coquines en gros plan. De mon balcon, c’est impossible !
Bien que le projet soit des plus excitants, je ne vois pas comment y parvenir. Je lui explique
- Je suis désolé monsieur Dubout mais ma mère n’acceptera jamais. Ce n’est pas son style de s’exhiber devant moi !
Il me rétorque
- Vois-tu, je m’en doute bien ! C’est pour cela que j’ai pensé à tout.
Il sort de sa poche une petite boite de gélules roses qu’il me tend tout en m’expliquant
- Tu ne le sais pas mais je suis médecin comme ta mère. Sauf que moi je suis sexologue et je travaille dans une clinique privée à Neuilly. A l’instar des petites pastilles bleu de Viagra pour les hommes, il y a des pastilles roses pour les femmes. Cela s’appelle le Niagra et c’est utilisé médicalement pour rebooster la libido des femmes.
Je lui demande
- Mais cela ne risque pas de faire du mal à ma mère ?
Il me rassure
- Non ! Il n’y a aucun risque et aucun effet secondaire ; je le prescris depuis plusieurs années à de nombreuses patientes qui en sont ravi. Il te suffit de lui faire faire prendre une pastille avec une boisson et cela a un effet quasi immédiat.
Rassuré en partie mais pas entièrement, je range la boite dans ma poche et je lui dis
- Je vais voir si c’est possible ce week-end, je vous tiendrai au courant.
Il me répond
- Merci pour ton aide, je suis sûr que tu vas réussir ! Et on va essayer de se voir un soir la semaine prochaine.
Une fois rentré à la maison, je m’empresse de cacher la boite de pilules dans ma chambre.

Ma mère ayant été de garde tout le samedi précédent, elle est présente à la maison tout ce week-end et j’ai donc de multiples occasions pour tenter de faire les photos pour monsieur Dubout. Pourtant, j’hésite ! Non pas que j’ai peur que le produit la rende malade car je me doute que l’intéressé ne m’a pas donné un produit dangereux. Disons que je manque de courage ! Le samedi se passe sans que je ne tente rien. On dirait que monsieur Dubout s’en doutait car il m’envoie un petit sms de rappel à l’ordre vers 22h00 « Je compte sur toi pour les photos de ta mère. Tu ne voudrais pas que je lui envoie les tiennes ! »
Le gredin, il me tient ! Je vais donc devoir me plier à ses bonnes volontés.
Heureusement, le dimanche va me donner l’occasion de parvenir à mes fins.

Le dimanche matin, alors que nous prenons le petit-déjeuner, ma mère me demande de l’accompagner pour faire quelques courses rue Lepic. Tandis que je me change dans ma chambre, elle se prépare dans la sienne. A 10h00 nous sommes tous les deux prêts et nous voilà partis. Je me suis habillé cool mais elle, comme toujours, s’est faite très élégante. Je regarde ses jambes et remarque qu’elle doit porter des bas ou des collants. Sa poitrine est bien dessinée sous son chemisier et je fais exprès de traîner quelques mètres derrière elle pour admirer ses fesses.
Au retour, c’est moi qui porte le sac avec les courses et c’est un bonheur lorsque nous arrivons enfin en haut de la rue Lepic. Je ne sais nullement s’il l’a fait exprès mais nous tombons sur monsieur Dubout alors que nous débouchons de la rue Azaïs sur la place du Tertre. Il nous salue et entame une conversation avec ma mère au sujet de l’épidémie de coronavirus. Comme ils sont tous les deux médecins, leur jargon est un peu technique mais je fais semblant de m’y intéresser. Juste avant de repartir, monsieur Dubout me demande
- David, pourrais-tu passer de nouveau un jour la semaine prochaine pour régler un problème d’ordinateur.
puis il ajoute en se tournant vers ma mère
- Oui, David est déjà venu l’autre jour pour un problème d’imprimante. Vous pouvez être fière de votre fils madame Pérèle, il est très serviable.
Ma mère lui répond
- Oui j’ai de la chance ! C’est un fils exemplaire.
Lorsque monsieur Dubout nous a abandonné et que nous repartons vers notre appartement, ma mère me dit
- Il est vraiment très gentil ce monsieur Dubout. Si seulement tous les autres habitants de l’immeuble pouvaient être aussi sympathiques que lui. Tu ne trouves pas ?
Je lui réponds
- Oui, il est très sympa !
Si elle savait ce que nous faisons ensemble et ce qu’il m’a demandé, elle serait peut-être moins ravie que je fréquente ce voisin !

Vers 13h30, après le déjeuner dominical et une fois la cuisine rangée, ma mère me dit
- Je vais prendre un petit café puis je vais me reposer dans ma chambre. Pourrais tu me masser de nouveau le dos car j’ai toujours quelques douleurs ? Tu as fait ça si bien la semaine dernière que j’en redemande !
Je lui réponds aussitôt
- Vas t’allonger dans ta chambre et prépare l’huile de massage. Je t’apporte ton café !
Elle est ravie et me remercie
- Tu es un adorable fils. Je t’attends avec mon café puis tu me feras un bon massage.
Tandis qu’elle se dirige vers sa chambre, je mets en route la cafetière et fonce dans ma chambre. Quelques secondes plus tard, je suis de retour dans la cuisine ; je prépare le plateau avec deux tasses et je pose en évidence la boite de pilules sur le plateau. Après avoir rempli les tasses de café, je me dirige avec le plateau vers la chambre de ma mère. Elle est déjà revêtue de son paréo et est allongée sur son lit en train de lire le dernier numéro de « Femme actuelle » qu’elle a acheté ce matin rue Lepic lors de notre sortie.
Je m’assoie près d’elle et lui dit
- Comme d’habitude, sans sucre pour toi et un sucre pour moi.
Tout en buvant son café, elle me pose quelques questions sur mes études de la semaine. J’en profite pour lui dire
- Tiens je vais te faire goûter une pastille que m’a recommandée monsieur Dubout. Il m’a trouvé fatigué l’autre jour quand je suis passé chez lui et il m’a dit que c’est un excellent stimulant physique et intellectuel. Avec les longues heures que tu fais à l’hôpital, cela ne peut pas te faire de mal non plus.
Elle prend sa pastille et moi la mienne. Je me dis que je ne crains rien même si c’est une pilule pour les femmes. Au pire, cela risque de décupler mes envies de travestissement ! Une fois la gélule avalée et sa tasse vide, ma mère me dit
- Bon chéri, si tu me massais maintenant ! La pilule miracle du docteur Dubout est peut-être très efficace mais pour mes douleurs dorsales, rien ne vaut un bon massage !
Me tournant le dos, elle retire son paréo et m’apparaît en petit string rouge et soutien-gorge assorti. Sur le lit, elle s’allonge sur le ventre et me dit
- Voilà je suis toute à toi !
Je lui réponds sur le ton de la plaisanterie
- Si je n’étais pas ton fils, je prendrais cela pour une invitation coquine !

Elle ne me répond pas et je m’installe près d’elle pour lui masser le dos. Comme la fois précédente, je m’applique à bien lui malaxer son épaule douloureuse en petits cercles concentriques qui vont en s’élargissant. Elle se laisse aller et semble apprécier mes massages car je constate que son corps se détend. Elle m’encourage
- C’est bon et ça me fait du bien. Continue !
J’agrandis de plus en plus mes cercles mais son soutien-gorge me gêne dans mes mouvements. Je lui dis
- Maman, je défais l’attache de ton soutien-gorge. Ce sera plus facile pour moi !
Je défais le clip et écarte les deux parties de l’attache. Puis je poursuis mes mouvements en descendant bien dans le creux de ses reins. Pour que mes mouvements ne fassent pas trop sensuels, je veille à appuyer assez fort pour montrer que je cherche à bien décontracter ses muscles. Ce qu’elle ne peut pas voir, c’est que de temps en temps je prends mon portable pour faire quelques photos.
Soudain, elle me dit
- Je ne sais p ...

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