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promenade en forêt

Publié par : seniordocile le 02/05/2022

Promenade en forêt
Cette histoire est antérieure aux périodes de confinement que nous subissons actuellement et date de plus d’une dizaine d’années.

Une belle journée de printemps m’a donné envie de m’aérer et je me suis rendu dans cette forêt bien connue de l’Ouest parisien. Laissant mon véhicule sur un parking proche d’un domaine, j’empruntais une large allée me permettant de bien profiter de la douce chaleur s’un soleil revenu.
Je marchais lentement et répondais agréablement aux saluts des quelques promeneurs rencontrés. Un homme me rattrapa et, m’ayant salué d’un « Bonjour », resta à ma hauteur. Nous engageâmes la conversation sur la météo agréable ainsi que sur d’autres banalités tout en poursuivant notre cheminement.
D’un âge sensiblement égal au mien, une cinquantaine bien sonnée, sa voix était douce et son physique agréable. C’est aussi tout naturellement que nous avons quitté ensemble cette large allée pour emprunter un sentier nous amenant dans les sous-bois.
Le cheminement étant moins large, nos corps s sont donc rapprochés et je sentais parfois le frôlement de son bras contre le mien et aussi, parfois, celui, plus discret, de sa main sur ma cuisse. Ne ressentant aucun recul de ma part, il m’a pris la main et nous nous sommes arrêtés face à face. Notre solitude vérifiée, nos visages se sont rapprochés et nos lèvres se sont rencontrées. D’abord timides mais nos langues sont entrées en action et se sont mêlées pour un baiser plus profond pendant que nos mains vérifiaient l’éveil de nos virilités respectives. Nos sexes grossissaient sous nos caresses et l’envie d’un contact bien plus rapproché a grandi en nous.
Conscients du manque de discrétion du milieu du sentier sur lequel nous nous trouvions, nous avons repris notre progression jusqu’à une petite sente s’enfonçant dans les fourrés proches.
Quelques pas ont suffi pour ne plus être visibles du chemin et nous nous sommes arrêtés dans une petite clairière.
Presque timidement, nous nous sommes rapprochés et nos mains sont parties à la découverte du corps de l’autre. La température clémente faisait que nous ne portions qu’un tee-shirt et un pantalon de toile. Mes mains se sont rapidement glissées sous son tee-shirt pour en sentir la douceur de sa peau alors que ses mains faisaient de même. Je sentais contre mon ventre, au travers de la faible épaisseur de nos vêtements, son sexe durcir tandis que nos langues se mêlaient et luttaient pour la possession de la bouche de l’autre.
Ses mains étaient douces sur ma peau. Nos bouches se sont un instant désolidarisé pour nous permettre d’ôter nos maillots mais ont vite repris leur plaisir alors que nos torses se collaient l’un à l’autre. Je sentais ses mains parcourir mon dos et tenter de se glisser sous la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses.
Nous nous sommes u peu écartés l’un de l’autre et nos mains ont eu vite fait de dégrafer nos pantalons et de les faire glisser vers le sol, descendant en même temps nos slips. Nous avons pris le temps de dégager nos jambes de ces vêtements et c’est entièrement nus que nous nous sommes recollés l’un à l’autre pour reprendre nos embrassades. Nos sexes tendus palpitaient l’un contre l’autre. Nos mains se sont faites plus fureteuses. Sa peau était douce et chaude. Je sentais ses mains caresser ma poitrine, en titiller les pointes pour les faire se dresser, se glisser sur mon ventre, caresser mes cuisses, remonter vers mon membre tendu, caresser mes couilles, repartir vers mon dos pour redescendre vers mes fesses et glisser son doigt dans mon sillon.
Ma bouche a quitté la sienne et j’ai descendu mes lèvres le long de son cou, vers sa poitrine. Ma langue a un moment titillé ses seins sensibles et, en me penchant, ma tête a continué sa progression sur son ventre, vers son sexe. Cette position lui permettait de continuer à me caresser les fesses, ce dont il ne se privait pas, humidifiant même son doigt avec sa salive pour qu’il glisse mieux dans mon sillon.
Mes lèvres ont alors atteint son pubis recouvert d’une toison courte, son membre caressant ma joue. J’ai remonté lentement ma bouche le long de son membre en le chatouillant de la langue et mes lèvres ont atteint son gland. Une goutte de plaisir perlait à l’entrée de son méat. Cueillie par ma langue gourmande, je l’ai trouvé douce et sucrée. De mes lèvres, j’ai coiffé ce gland gouteux et, tout en le massant de ma langue contre mon palais, je l’ai laissé ma pénétrer la bouche. Il me semblait qu’il grandissait encore plus et j’en ressentais les palpitations.
Ses mains continuaient à s’occuper de mes fesses et j’en ressentais la douceur et leur progressivité. Un doigt est venu rapidement se poser sur mon petit trou et a tenté de le pénétrer. J’ai senti sa main se retirer et bien vite revenir. Il avait dû y remettre de la salive car son doigt m’a pénétré facilement, vite rejoint par au moins un autre.
Il m’a alors relevé de cette position et nos lèvres se sont à nouveau jointes et nos mains ont repris nos caresses.
Me prenant aux épaules, il m’a retourné pour se placer derrière moi et a commencé à m’embrasser le cou, les épaules, tout en me caressant les seins. Son corps collé conte le mien, je sentais son sexe tendu contre mes fesses. Mes mains les ont écartées pour qu’il se cale bien entre elles et qu ...

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