Dimanche 15 heures à Paris. Le bruit des casseroles qui résonnent me fait sursauter.

Je me lève, mes idées se remettent en place.
Je suis dans la chambre de mon voisin Rachid. Celui avec qui m’a baisé toute la nuit.

Un bon son sur la radio beur fm égaye cet appartement. Un chanteur algérien chante l’amour.

Je décide de sortir du lit.
Mes affaires sont jetées à même le sol. Je porte toujours mon string dentelle.

Que faire ? m’habiller et partir directement chez moi ( je n’ai que l’ascenseur à prendre ) ou bien le rejoindre en cuisine en petite tenue.

J’hésite. Je tourne en rond et je décide de prendre mon courage à deux mains.

« Salam Rachid wesh rak ? kech kahwa ? » traduction : Bonjour Rachid comment ça va, y a du café ?

-Oh ma petite salope est réveillée, oui y a du café pour ma princesse. Va t’assoir dans le salon j’arrive.

La pièce avait été rangée. Je me pose à la même place qu’hier.
Un sentiment nouveau naît en moi, je me sens chez moi dans cet appartement.


Je croise les jambes en attendant que mon mari, oui mon mari me serve le café.

« Humm, tu es sexy ma jolie » me lance-t-il.

-Merci Maitre.

« Non bébé, tu me dis maître quand je te défonce comme une bonne pute, quand j’ai décidé que tu es mon trou à jus.
Au réveil considère moi comme toi mec, ton mari, ton petit vicieux qui prend soin de toi ok ?


-Merci pour ton attention.

« Voilà Karima, le jour tu es ma femelle, ma soumise, le soir tu es mon trou à jus et moi ton maître.
Allez viens, approche toi de moi et donne moi tes lèvres pulpeuses. Regarde sur la table il y a du rouge à lèvres. Mets-en.


C’est la première fois que je vais devoir me maquiller. Mais pour lui plaire, le garder, je m’exécute.
-Humm Rachid il est super ton café.
Ah bon et bien pour me remercier tu vas me faire quoi ?
Je comprends ce qu’il attend de moi, de cette femelle du matin.

Il est toujours assis sur le canapé un café dans une main, une clope dans l’autre. Il ne fume que très peu.
Je suis accroupis en face lui, rouge à lèvre et string dentelle qui colle un peu tellement j’ai mouillé la veille.

« Vas-y ma femme, suce moi avant de rentrer chez toi. Fais ton boulot
Hummm continue comme ca salope. Oui encore…. Humm c’est bon espèce de kahba. T’es une bonne soumise à son mari toi »


Il prend une gorgée de café, tire une late, pendant que je m’occupe de le traire. Ce gros zeb de rebeu va me donner satisfaction, il va se purger.
Je sens qu’il va venir et c’est à cet instant qu’il m’ordonne de m’arrêter.

« lève toi bébé et suis moi »
Nous nous dirigeâmes sur le balcon, nous sommes dimanche et peu de passants.
Il enfile une robe de chambre et me donne une nuisette. Il me veut féminine, le pari est réussi.

« regarde par le balcon princesse je me mets derrière toi ...

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