Je discutais avec ma voisine aux rondeurs aguichantes, ce jour là elle avait une petite robe d'été ultra-courte, ras la chatte comme on dit, qui mettait en valeur sa croupe charnue, ses seins s'y sentant manifestement à l'étroit et leur téton pointant au travers du tissu léger. Tout cela ne pouvait qu'attirer mon attention qui était plus hypnotisée par son allure provocante que par ce qu'elle pouvait me raconter. A un moment quand même elle me fit la réflexion, "elle te plait tant que çà ma poitrine, tu veux la voir de plus près ?" Ne voulant pas l'offusquer je ne pouvais qu'approuver, de toute manière c'était une évidence. "Viens si tu veux les toucher", et elle me prit par la main m'entrainant jusque dans sa chambre. En même temps qu'elle m'embrassait goulument, sa main vint vérifier l'état dans lequel elle avait réussi à me mettre. Sa petite robe ne résista pas longtemps, mes vêtements non plus, et elle me bascula sur son lit et monta sur moi, me présentant ses nichons l'un après l'autre à téter, ce que j'entrepris avec application. "Tu les aimes bien mes mamelles, hein, mon cochon ?" et comme des bonbons je suçais ses deux pis qui m'enchantent. Dans le même temps elle enserra mon membre dressé entre ses cuisses, et par petites oscillations fit qu'elle le dirigea vers sa vulve, mon gland y pénétrant d'autant plus facilement qu'elle était béante de désir et déjà bien lubrifiée à souhait. Je caressais sensuellement toutes ses courbes qu'elle me tendait voluptueusement, et me donna quelques coups de culs qui firent rapidement jaillir ma semence en elle qui se mêla à sa cyprine, l'ensemble s'écoulant sur son lit dont qu'elle avait précautionneusement recouvert d'une serviette, preuve que c'était prémédité. Après ce moment de lubriques extases, nous prîmes quelques instants de récupération, allongés l'un contre l'autre, entrecoupés de furtives caresses et de doux baisers, ravis et momentanément repus.
Soudain on sonna à sa porte, et elle se leva en s'exclamant "Tiens, çà doit être ta surprise" et elle disparut de la pièce, puis j'entendis des voix chuchoter mystérieusement dans la pièce d'à côté. Enfin elle réapparut accompagnée d'un homme qu'elle me présenta ainsi, "La dernière fois tu m'avais dit que, finalement, tu accepterais bien une partie à trois, alors voilà, il est pour toi, ou plutôt tu es pour lui". C'était un bel homme, mais sa description n'a ici aucun intérêt puisque je le verrais peu, celui-ci devant plutôt agir derrière moi pour ce que nous avions à faire. Son seul intérêt était sa queue qu'il n'avait pas très épaisse, mais d'une longueur convenable, même plus que convenable, ce qui était tout à fait ce qu'il me fallait ...

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