Dès notre première relation, je lui avais dit, et il en avait bien convenu : "Ta queue et mon cul sont faits pour aller ensemble". C'est vrai qu'ils s'intégraient l'un dans l'autre à la perfection, tel un tenon avec sa mortaise.

Il m'arrive souvent de rêver de ce premier rapport que nous avions eu ensemble, ce souvenir ne me quitte plus, m'obsède même, malgré que nous en ayons eu quelques autres depuis. Nous nous rencontrions dans un petit bois près de chez moi, et dès que je le voyais ma bouche allait à la rencontre de la sienne, sa moustache me picotait mes lèvres sensibles, nos langues se liaient et se déliaient, nous échangions nos salives, et pendant qu'un de mes bras l'enserrait, ma main restée libre allait farfouiller dans sa culotte. Mes doigts y trouvaient son membre déjà bien raidi, je le caressais, ainsi que ses couilles bien remplies, et je sais qu'il adorait ce moment là. Il m'a affirmé qu'il bandait déjà rien qu'en m'apercevant et en sachant ce que j'allais lui faire. J'avais hâte de me faire prendre, qu'il me saute comme une femelle, allongé sur la mousse et les jambes bien écartés, ou simplement debout appuyé contre un tronc, les fesses tendues en attente de sa saillie. J'adorais son geste élégant, à la fois tendre et plein de tact, pour que je me retourne, laissant mes rondeurs à sa disposition. Prévoyant, j'avais préalablement enduis de gel l'endroit adéquat afin que son membre me pénètre bien à fond et coulisse comme il le fallait, m'envoyant des ondes qui parcouraient tout mon être.

Mon pantalon tombé à mes pieds, il me prenait par les hanches et, direct, sa queue trouvait sa cible, je sentais sa rigidité m'investir et me mettre en pamoison. Mes mains allaient enserrer ses fesses pour qu'il se colle bien à moi et me pénètre bien à fond. Ses va et viens étaient un véritable délice. Comment un membre si doux au toucher peut-il êt ...

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