Nous avions eu quelques échanges sur le site et nous avions décidé de nous rencontrer. C'est toi qui avais décidé du lieu et après avoir cherché un peu j'avais repéré l'endroit grâce à ta voiture qui était garée là. Tu m'avais dit devoir m'enfoncer dans ce bois juste derrière et je t'y trouverai.
Sans t'avoir jamais vu je t'imaginais et pus te reconnaître (évidement tu étais tout seul dans ce bois un peu glauque). Grand, fort,rond, la soixantaine,(mon ideal masculin) tu étais là à me regarder venir. J'ai remarqué tout de suite tes yeux malicieux et un peu pervers et ton regard pesant sur moi mais je compris très vite que j'étais à ton goût, un petit sourire esquissé vint confirmer ce que j'imaginais. Tu n'as pas eu beaucoup d'égard et c'est d'ailleurs ce que nous avions convenu (d'ailleurs j'étais là parce que j'attendais ce type de relation); très vite tu m'as saisi par la taille et tu m'as pris la bouche pour m'embrasser. Une seconde je me détournais mais très vite tu me saisis les cheveux et je sentis ta langue forcer mes lèvres et pénétrer ma bouche avec force et vigueur. Que j'aime les hommes qui ainsi très vite vous signifie qu'ils sont les maîtres du jeu. Ce baiser dura et je sentais maintenant tes mains aller et venir sur moi et ainsi découvrir mon corps offert à tes désirs. Quel plaisir de se faire ainsi peloter, tripoter, sans aucun interdit, nous étions l'un et l'autre désireux de cela.
Ta bouche allait et venait sur moi, je sentais tes lèvres humides dans mon cou, que c'est bon de sentir un homme s'exciter grâce à toi.
Très vite, tu commençais à glisser tes mains sous mes vêtements et tu avais ouvert mon jean qui tombait déjà à mes pieds.
Je te sentis encore plus excité quand tu découvris que sous ce jean je portais des bas noirs qui gainaient mes jambes et une jolie petite culotte en dentelle assortie.
Tes mains cette fois remontaient sur ces bas nylon, quelle sensation pour moi et une de tes mains se glissa très vite dans ma culotte. Tu as tout de suite vu que j'étais moi aussi très excité en prenant mon sexe durci par ton ardeur à me caresser.
Je me laissais aller et m'accrochais à ton cou; c'était ce que nous avions convenu; passive je devais rester.
Je sentais ton poids de plus en plus pesant sur moi et je me sentais de plus en plus tenu par tes mains puissantes qui allaient de mes seins durcis par tes caresses à mes fesses que tu prenais à pleine main. Tes doigts se faisant de plus en plus précis vers mon clito déjà mouillé de plaisir. Je sentais maintenant tes doigts me pénétrer en douceur et aller et ...

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