Bonjour à tous et merci d’avoir lu mon histoire. Je vous propose à présent la suite.
Alertés par le bruit suspect du craquement d’une branche tout près de nos ébats, nous nous interrompons pour guetter s’il s’agit de la manifestation d’un animal autochtone des lieux, ou celle d’un autre type d’animal moins désintéressé dans sa déambulation…
Tout en balayant les alentours du regard, je me remémore les échanges que j’ai eu quelques mois auparavant avec mon compagnon si un jour nous avions à être découvert par un curieux : Que faire ? S’ensuit logiquement la question du plan à trois. Je connais son passé libertin (donc assez habitué et à l’aise avec la situation), et lui sait que cette perspective ne relève que du fantasme de mon côté. Imaginer la situation me procure une excitation folle, mais n’empêche… franchir le cap de partager l’être aimé avec un inconnu c’est une autre affaire ! La discussion s’était terminée sans prise de position précise, laissant la place au possible. Et de toute façon, « vu les coins que l’on fréquente il y a très peu de chances qu’un invité inattendu se présente devant nous… », disait -on.
Et bien mal nous en a pris, car le passager clandestin que nous n’envisagions pas est bien présent. Assez grand, une petite quarantaine, barbu et trapu. Il est là, immobile contre un arbre, nous regardant tout en se caressant dans son short. Se sachant découvert, il s’approche. Je me retourne alors vers mon homme qui d’un regard bienveillant se mit à m’embrasser langoureusement. L’appréhension tombe et fait place à une immense excitation. Mes sensations semblent se décupler, je gémis déjà de plaisir à chaque mouvement de sa langue dans ma bouche. Il n’a pas fallu longtemps pour que notre partenaire improvisé, que l’on nommera Lucas, nous rejoigne. Ses vêtements désormais à terre laissent découvrir un corps légèrement velu, de large épaules, et une queue déjà bien raide. Nos caresses et jeux de langues ne l’ont pas laissé de glace. Instantanément nos langues se mélangent et nos mains se caressent les uns les autres. Je m’agenouille alors pour profiter de cette nouvelle tige : moins longue mais très épaisse et bien veinée. Pubis et couilles légèrement poilus et bien entretenu, j’aime respirer la délicate odeur de sa queue avant de laisser s’enrouler ma langue autour de son gland, puis de faire s’engouffrer la totalité de son membre dans l’humidité de ma bouche. Ma langue faisant des vas et viens de la base des couilles jusqu’à et pointe du frein le fait respirer plus fort et gémir alors que ses lèvres sont encore la proie de la bouche de mon homme. J’entreprends de continuer mon étreinte tandis que mon homme, souhaitant s’attarder plus particulièrement sur son cul, nous demande de nous sucer mutuellement. Je m’allonge sur le dos et Lucas se positionne alors à 4 pattes, s’affairant à satisfaire consciencieusement ma queue de sa bouche experte tout en me présentant une nouvelle fois son magnifique engin à sucer. Tandis que je lèche avec délectation ses couilles pendantes, ses cuisses s’écartent me laissant admirer un cul légèrement poilu dévoilant une magnifique rosette que mon compagnon ne tarda pas à prendre en bouche. De ma place je peux voir sa langue s’aventurer le long de la raie, titiller le pourtour de la rondelle. Puis les coups de langue se font plus précis, humidifiant et assouplissant l’orifice pour que progressivement la barrière s’ouvre. J’observe alors ce morceau de chair disparaître et réapparaître du trou béant qui se dilate et se rétracte à mesure que les mouvements se font pressants. Je sens la queue de Lucas ...

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