Un jour, un copain nous propose d'aller manger une glace dans un restaurant près de Peyssies où il y avait un bassin.
A l'époque, le proprio tolérait que l'on s'y baigne.
Je n'avais pas fini ma glace que je remarquais un short en jean déchiré à raz des fesses.
Même qu'il ne couvrait pas entièrement les fesses.
A sa table, me faisaient face une femme, et un homme que je reconnais. Celui qui nous a hébergé le soir du mariage à Muret.
Je comprends qui porte le short déchiré.
Après avoir fini ma glace, je propose qu'on aille se baigner. Et en jouant avec les copains, je n'arrête pas de jeter un œil vers le garçon au short. Il finit par me remarquer et vient se joindre à nous.
A part Yoann, personne ne le connais.
- tu me reconnais pas ?
- je t'ai vu je ne sais pas où !
Je lui chuchote :
- j'ai dormi chez toi, on s'est croisé dans le couloir et tu étais à poil !
2 ou 3 secondes de réflexion et:
- ah oui! Tu devais me rejoindre dans ma chambre et tu n'es pas venu.
- je ne pouvais, j'étais avec des copains et je ne veux pas qu'ils le sachent.
- et ceux-là ?
- pareil !
Il me fait une grimace qui veut dire " dommage" ou quelque chose de ce genre.
On continue à jouer, même avec sa sœur.
Au bout d'un moment il va s'asseoir avec ses parents et nous rejoint à notre table.
Il me chuchote :
- demain, je passe l'aprem à Carbone. On peut se voir ?
- pas de soucis, a partir de 10:00 ou après manger, place de la république.
On retourne une dernière fois s'amuser dans l'eau, puis on décide de rentrer.
Le lendemain, je le vois arriver en scooter vers les 11:00.
- tiens ! La folle de Muret !
Je sais que ma mère est à la maison. J'attends que les copains se décident à rentrer pour l'inviter à manger.
Il me devance :
- on va manger chez moi ?
- qu c'est qu'il y a ?
- peut-être ma sœur ! Mes parents bossent !
- ouais, si tu veux.
Je monte derrière lui, je le tiens par la taille, et en route pour Muret.
Je suis collé à ses fesses. Dommage qu'il n'ait pas remis son short de la veille. J'aurais pu lui toucher les cuisses.
Le fait d'être collé à lui, et les vibrations de la route, font que je bande avant d'arriver chez lui.
A peine la porte fermée, il met ses bras autour de mon cou et colle ses lèvres sur les miennes.
Je n'ouvre pas la bouche et le repousse doucement.
- y-a pas ta sœur ?
- je m'en fous !
Il recommence et me colle contre le mur. En plus il se débrouille pour m'écarter les jambes et se glisse entre elles.
Tout en me roulant des galoches, il l'entraîne vers sa chambre.
Ce n'est pas son estomac qui a faim.
On ferme la porte et je lui demande :
- tu as des capotes ?
- pourquoi faire ?
- ben, tu veux pas, qu'on, s'encule ?
- j'ai jamais fait ça ?
- qu'est-ce que tu veux faire ?
- on se caresse et on se suce !
- pas plus ?
Il r ...

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