Cette nuit là, je rentrais de soirée sur les coups de 2h du matin. C'est l'été, la température était très douce. Un peu éméché par les nombreuses bières englouties, je coupe par le parc pour arriver plus vite chez moi.
J'enjambe la barrière qui est verrouillée et marche tranquillement en fumant ma clope.
A mi chemin, je croise 2 types. Ils sont assis sur un banc, bouteille de whisky à la main. Il y en a un très costaud, 1m90 pesant dans les 110 kg, crâne rasé et l'autre plutôt fin mesure 1m80 environ. Les deux sont habillés en survêtement.
Ils m'interpellent pour me taxer une clope. Ce sont deux étrangers, à leur accents je dirais qu'ils sont turcs. Je leur offre chacun, une cigarette. Ils me demandent si je n'ai pas un peu de monnaie à leur dépanner, ce n'est pas le cas.
J'ai une soudaine envie, je me dis que je m'occuperai bien de leur queues. Ma femme dort à la maison et je ne suis plus à quelques minutes près. Et puis ça fait longtemps que j'ai pas sucer une bite.
Alors je leur propose de but en blanc :
"Vous voulez pas que je vous suce ?"
Ils échangent un bref regard et le plus costaud me dit :
"Vas y, on a pas baisé depuis longtemps avec mon pote !"
Et il sort sa queue direct. Une bite très épaisse. Je m'assois sur le banc, il se met face à moi. J'attrape cette verge dans ma main et approche ma bouche pour l'avaler.
Elle est vraiment d'un gros diamètre, facile 5 ou 6cm de large. Elle gonfle vite et prend toute la place dans ma bouche. Ce gros vicieux appuie sur ma tête pour me l'enfoncer dans la gorge, c'est très excitant. Il se met à me baiser la bouche sans ménagement. Son ami ne perd pas une miette du spectacle. Il a lui aussi sorti sa bite et s'astique en attendant son tour. Il a un engin plus classique, long et fin que j'ai très envie de prendre dans mon cul car cette pipe m'a chauffé à blanc. Je me mets à 4 pattes sur le banc et baisse mon pantalon.
Il comprend immédiatement où je veux en venir. Il se positionne derrière moi, me crache sur le cul et pose son gland gonflé sur mon anus. Il pousse fort tout en me tenant par les hanches, comme pour éviter de me laisser ne serait ce qu' une chance de m'extirper de son emprise. Je sens chaque millimètre de sa queue raide d'excitation remplir ma chatte anale. J'aime tellement la sensation prodigué par le premier va et vient en moi. Pendant que le gringalet me lime, et il n'y va pas de main morte, je poursuit ma fellation sur le gros. Je le suce, le leche, je lui gobe les couilles et je vois que l'un comme l'autre adore ça.
Je ne veux plus que ça s'arrête !
Je me fais démonter comme une chienne. Et pour mon plus grand plaisir, ils se mettent à m'insulter ce qui ne fait qu'accroître mon excitation :
"T'aimes ça grosse pute les bites de bledards ! On va te defoncer petite salope !"
Le maigrichon se met alors à accélérer la cadance et me balance désormais de grandes claques sur le cul. Je me retiens de jouir à ce moment là et me cambre d'avantage. Si je pouvais je ferais rentrer ses couilles en plus. Mon cul chauffe. Je sens la verge trèssaillir dans mon fondement et un délicieux liquide chaud m'inonde. C'est tellement satisfaisant de faire jouir un homme.
Cette baise endiablée en plein air est incroyable. Le risque de voir quelqu'un passer, même s'il est plus que minime à cette heure là, ne fait qu'augmenter l'excitation.
Le gros que je continue de pomper, se retire de ma bouche et je comprends immédiatement que lui aussi veut me prendre le cul mais malgré l'importante dilatation de mon orifice, je ne vois pas comment cette bite aux dimensions d'une canette de bière de 50cl peut rentrer en moi. C'est pas l'envie qui m'en manque mais je ne peux m'empêcher de lui dire que ça ne va jamais rentrer.
Il me répond qu'il finit toujours par y arriver. Soit. J'ai voulu jouer la petite salope, je dois assumer.
Il s'assoit sur le banc et m'ordonne d'en faire de même sur sa teub.
Je positionne le gland sur mon trou chaud, encore dégoulinant de la semence du précédent. J'ai espoir que ce sperme lubrifie un peu le 2eme acte qui s'annonce bien hard.
Je pousse mais je n' y arrive pas. Les insultes se transforment en menace :
"Ta intérêt à faire rentrer ma bite dans tes fessses sinon je vais te cogner sale pute !"
Je pousse encore plus et le gros m'attrape par les épaules et me tire v ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite