« Je sens directement une tension au niveau de son sgeg, une raideur supplémentaire et un diamètre qui s’est élargi davantage. Malgré cette dernière réaction de mon jeune Apollon, je parviens enfin à faire dépasser son gland derrière mes amygdales. Je le maintiens un moment dans cette position et ajoute un deuxième doigt dans son cul.
J’ai fait trop fort : son bassin entre en spasmes et il hurle de plaisir en se vidant les couilles dans ma bouche. Sur l’entrefaite, Corinne sort de la salle d’eau et ne perd pas le nord. Elle me demande de ne pas avaler. Elle s’approche de moi et… »
Et elle me prend la bouche pour bouffer du sperme de Camille et me rouler une galoche d’enfer. Elle me prend la main qui occupait le cul de notre jeune black et elle lui entre directement deux doigts. Le mignon pousse un gémissement de plaisir. De son autre main, elle me branle avec une hardiesse peu commune et une dextérité qui ne l’est pas moins.
Elle se place alors contre le dossier du lit et interpelle Camille pour qu’il lui prodigue un cunnilingus en règle. Notre jeune minet s’y attèle et il semble qu’il se débrouille comme un chef car Corinne lui caresse délicatement les cheveux en le félicitant et en l’incitant à persévérer.
Pendant ce temps, le cul de Camille m’est, on ne peut plus, offert. Je poursuis donc sa détente en lui prodiguant un anulingus de rêve. Je le sens vibrer chaque fois que ma langue titille sa rondelle et lorsque je commence à introduire ma langue dans son tréfonds, c’est tout son bassin qui effectue des mouvements d’avant en arrière, je le suis avec ma langue et bientôt je le prends par les hanches pour mieux le contenter : il n’a pas besoin de bouger pour exciter la chatte de Corinne qui commence à mouiller au max. Camille se délecte de cette cyprine et je me demande si ce n’est pas une découverte pour lui.
Aux jappements de Corinne, je devine qu’il est en train d’aspirer son clitoris ou au moins de jouer avec, en toute dextérité. A ces cris, je mordillerais cet appendice de plaisir féminin et peut-être le fait -il. Apparemment les plaisirs de Corinne lui font de l’effet car je sens son anus qui se relâche de plus en plus au point que deux bites comme la mienne pourraient y entrer.
Je cesse donc mon anulingus et présente mon gland contre sa rosette et le projette lentement vers l’avant tandis que Camille, excité au plus, effectue un mouvement du bassin vers l’arrière afin de mieux m’accueillir. Je ressens progressivement la chaleur de ses entrailles qui envahit mon gland puis mon pieu jusqu’à sa base lorsque mes couilles viennent en butée.
Camille en lâche le petit bout de viande qu’il tenait entre les dents et pousse un gémissement de puceau qui ressent pour la première fois le plaisir d’une sodomie. Une de ses mains vient prendre mon cul pour me tirer à lui afin que je m’enfonce au maximum dans son tréfonds et je fais claquer mes couilles contre son périnée. Je lui mordille le cou puis le lobe de son oreille dans laquelle j’entre le bout de ma langue tendue. A ses convulsions, je devine que sa queue a déjà retrouvé de la vigueur et ma main vient le vérifier. Ce faisant, je rencontre la main ...

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