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ROSELYNE, MA VOISINE !

Publié par : louise06 le 13/01/2022

Voici une histoire qui m'est arrivée quand j'étais ado entre 15 et 18 ans....

Mes parents se sont séparés quand j'avais 15 ans. Avec ma mère, mon frère et mes soeurs nous avons alors déménagé pour aller en HLM, une barre de 10 étages, dans un quartier que l'on qualifiait à l'époque de ZUP, une zone à urbaniser en priorité, un ghetto quoi !

Un jour en descendant au sous-sol un sac poubelle qui ne pouvait pas passer dans la descente qui fait tous les étages dans ce genre d'habitation, je tire la grosse poubelle dans laquelle tombe les choses que les gens jettent pour y jeter mon sac et au même moment j'entends quelque chose qui tombe dans la descente et paf! tomber par terre.

Au moment où je le ramasse pour le mettre dans la poubelle, je me rends compte au toucher que c'est une paire d'escarpins. J'ouvre le sac et découvre une superbe paire de talons très usagée, avec un collant à l'intérieur que je prends pour le sentir.

J'ai tout de suite su de quel appart cela provenait car j'avais déjà remarqué la femme qui portait cette paire de talons, elle était immanquable...

Je retire le collant de la chaussure et je constate que dans l'avant-pied ses orteils on laissé de superbes petites traces, quel régal visuel !

Je porte le collant à mes narines et je m'enivre de cette fragrance qui est un savant mélange de ses pieds et de son parfum, une sorte de sucré-salé olfactif.

Finalement, je m'aperçois que le collant n'a qu'une jambe, il est long, il a bande élastique qui le ferme au niveau du haut de la cuisse. Pas de doute, ce n'est pas un collant mais un bas nylon autofixant.

Toutes les images de cette femme que je croise souvent et qui a porté ces bas défilent alors dans ma tête à l'aune de cette information très confidentielle.

Une superbe femme dans la 40aine, son mari commercial, parti sur les routes 50% du temps, avec 2 enfants qui étaient plus jeunes que moi, genre 10 et 8 ans, je la connais comme voisine depuis mes 15 ans, j'en avais 18 maintenant et étais en terminale.

Je voyais très bien cette femme car, quand j'étais dans l'escalier et que j'entendais des talons descendre sur les marches en pierre, je courais dans l'escalier de la cave, fermait la porte en laissant juste un filet, et me couchais sur les premières marches pour me mettre au niveau du sol afin de voir au plus près ses pieds passer sous mes yeux.

Je me disais déjà à l'époque que, si elle allait dans la cave et me surprenait comme ça, je lui avouerai mon fantasme.

Une superbe femme bien gaulée...

C'est à cette époque que j'avais commencé à m'intéresser à l'urbex (exploration urbaine qui consiste à aller visiter des lieux abandonnés).

Et à l'ouverture fine (lockpicking en anglais) qui consiste à apprendre les techniques pour ouvrir toutes sortes de verrous sans effraction (ce qu'on voit dans les films).

Et un jour, dans ma folie d'ado excité, j'ai pensé que je pourrais pénétrer chez elle pour fouiller ses tiroirs, apprécier ses dessous et ses talons.

Alors un jour où elle était en vacances avec toute sa famille, je suis monté chez elle.

J'avais mes outils d'ouverture avec moi, mais la première chose que j'ai testée a été la clé de la porte de chez moi car dans ce genre d'appart, la probabilité qu'une clé d'un appart en ouvre un autre est loin d'être nulle.

Bingo ! La porte s'est ouverte. A l'époque, il n'y avait pas de porte de sûreté, les gens faisaient 2 tours de clé et basta.

J'avais le coeur qui battait à sortir de ma poitrine, mais je suis entré puis ai refermé à clé doucement. Je suis resté quelques secondes l'oreille collée à la porte pour savoir si les voisins avaient remarqué quoi que ce soit, avaient ouvert leur porte, ou si un autre voisin montait ou descendait l'escalier. Rien...

Je me suis alors retourné dos à la porte, j'étais chez elle, tout ce qu'elle possédais était à moi, ici maintenant !

Réflexe d'urbex, j'ai enfilé une paire de gants en latex.

Comme c'était la même configuration que chez moi, je suis allé au fond du couloir directement dans sa chambre, j'ai fait ses tiroirs, suis tombé sur sa lingerie dont j'ai senti chaque élément. J'ai chipé une culotte mais ce qui m'intéressait le plus était ses talons.

Je suis retourné dans l'entrée, j'ai tout de suite trouvé son placard à chaussures et j'ai découvert ses merveilles. Parmi elles, une paire usagée de hauts talons bleu pétrole a attiré mon oeil, elle sentait divinement bon. Je me suis alors mis à me branler dessus, je lui ai laissé mon foutre dans l'avant-pied et ai tout laissé comme ça sachant que la famille était partie pour 2 semaines.

J'y suis allé plusieurs fois cette semaine-là uniquement. J'avais suivi les règles qu'ont se fixe en urbex, je m'étais dit que j'y irais une semaine et pas plus par sécurité, ce que j'ai respecté, et c'est ce genre de règles que je me fixe toujours et prends une attention particulière à respecter.

Finalement, ma voisine est revenue avec sa famille à la fin des vacances de Pâques.

À cette époque, j'étais en terminale C et suivais un parcours à l'école des beaux-arts de ma ville (je fais de l'illustration mais n'en ai pas fait mon métier).

La semaine où ma voisine est rentrée, j'avais élaboré un nouveau plan.

J'ai attendu que son mari soit absent et les enfants à l'école pour aller frapper chez elle.

Elle a ouvert, c'était la première fois que je me retrouvais véritablement en face d'elle mis à part les bonjours bonsoirs lorsqu'on se croisait dans l'escalier.

Je lui ai dit que j'étais aux beaux-arts en plus de la terminale et que j'avais un devoir à faire sur un thème libre, j'avais avec moi ma pochette d'esquisses que je lui ai montrées pour asseoir mon discours sur du tangible.

Je lui ai dit que je voulais être designer de chaussures pour femmes (un mensonge éhonté) et que je recherchais des paires ayant été portées car la chaussure prend la forme du pied et c'est là où elle devient magnifique, c'est texto les mots que j'ai employés !

Je lui ai dit que je n'avais pas pu faire autrement que de remarquer qu'elle portait de magnifiques chaussures alors je me suis dit que, peut-être, elle pourrait m'en prêter 2 des siennes pour quelques semaines. Et ainsi aider un étudiant dans son devoir...

Elle m'a fait entrer, m'a questionné sur mes projets présents et futurs. Elle montrait une réelle curiosité, je trouvais ça charmant et très flatteur pour moi.

Puis elle m'a ouvert son placard. Ensemble nous avons convenu de 2 paires qu'elle m'a prêtées.

Je les ai amenées chez moi et planquées au fond de mon armoire, j'en ai bien profité pour jouir mais aussi pour les dessiner car je voulais lui montrer le résultat de mon travail. Ce que j'ai fait en les lui rapportant après les avoir bien spermées. On devait être en mai.

En terminale, j'ai beaucoup fait la fête. Avec un copain qui habitait au dernier étage de ma cage d'escalier, on sortait souvent. Il faut dire que mes parents étaient séparés depuis la fin du collège. Je vivais avec ma mère qui était devenue alcoolique et délaissait ses enfants, jusqu'à ne plus avoir les forces physiques de vraiment s'en occuper. Zola, quoi !

Donc, en bande on avait l'habitude tous les vendredi soirs d'aller dans une boîte du centre-ville qui s'appelait le Caprice et de rentrer au pe ...

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