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SAUNA NOSTALGIA 3

Publié par : ftc1962 le 21/11/2020

Après le hammam et la backroom, quand tout fonctionne idéalement ça peut faire déjà presque une heure de jeux divers et variés. Quand rien ne va et que la pêche est infructueuse, ça va plus vite. Franchement, c’est très rare d’avoir totalement rien à se mettre sous le dent…pardon, sous la langue.

Il est temps de descendre au deuxième sous-sol de ce sauna des grands boulevards que les connaisseurs auront reconnu facilement.
Juste à côté du hammam, un escalier , une rampe que je tiens bien : glisser serait vraiment très désagréable !
En bas une piscine qui voisine avec un bain à remous, des fresques de faïence qui évoquent la Grèce, quelques statues… C’est un brin kitsch mais que c’est agréable !
Entre le couloir des cabines coquines et le couloir des salles vidéo, c’est souvent vers les salles vidéo que j’aime à me diriger d’abord.
La salle du milieu : les chaînes d’info en continu. Si les gens qui blablatent sur BFM savaient là où ils sont regardés… vous pensez que ça les décoincerait ?
La salle vidéo X est rectangulaire, grand écran et une installation bien vue de 4 gradins, au pied desquels il y a deux matelas qui prolongent le terrain de jeu.
Là, c’est vraiment le carrefour des délices, très rarement inactif, sauf en toute fin de journée.
Les films sont agréables et mélangent tous les genres, sont renouvelés un peu plus souvent qu’ailleurs et jouent leur rôle pour réanimer la flamme.
Là, si on y reste, c’est pour sucer ou être sucé. Ceux qui ne dépassent pas l’entrée sont souvent timides ou indécis, ou alors ne sont tentés par personne.
Des corps masculins de tout aspect, assis, les cuisses écartées les sexes dressés. Des couples et des trios en pleine fellation, sans gêne et sans honte ; on sait pourquoi on vient, on sait pourquoi on reste.
Qui garde sa serviette autour des reins, ou les mains plaquées sur le bas ventre n’a vraiment pas de raisons valables de rester ici très longtemps.
Et si c’est pour regarder des pornos, autant rester chez soi sous la couette et économiser le prix d’entrée ( par ailleurs modique au regard de la chaleur du lieu )
J’aime à m’asseoir près d’un homme qui tient sa bitte droite et qui se branle doucement. Il ne tourne pas la tête, il attend. Vite, ma main sur sa cuisse : s’il ne me repousse pas, c’est qu’il est d’accord. Le plus souvent aussi, il arrête de se branler et son sexe m’invite à le prendre sans tarder.
Là, ma bouche sur son gland, directement et le début d’un pompage dont il faut comprendre vite quel rythme lui donner, quel style est attendu. Et assez souvent, s’asseoir sur le gradin en dessous, pour avoir le gland dressé juste à hauteur des lèvres, pouvoir caresser les jambes, le ventre, pincer les tétons… Moi qui suce ne regarde pas les vidéos, mais mon compère sucé les regarde, lui…
L’heure n’est pas aux préliminaires, mais aux caresses franches et directes.
Il faut savoir aussi se défendre en face de ceux qui voudraient bien partager une bonne queue, et qui essayent, s’asseyant à côté d’un couple déjà en plein jeu, de prendre le sexe sucé pour le sucer à leur tour. VOLEUR !
Il y a des fois, quand j’ai fait une erreur de choix, une erreur de casting, où je laisse le voleur s’emparer de la proie. C’est souvent pour me jeter sur un autre sexe à proximité, plus raide, plus beau, plus tentant…
Car un bon suceur est vite repéré, et il y aurait presque la queue – pardon, la file d’attente – pour profiter de sa bouche.
Sans être vantard, cela m’arrive de sentir qu’un voisin observe, se branle et aimerait bien que je m’occupe aussi de lui. Comme je suis poli, je ne quitte pas ma caresse pour le rejoindre avant que je ne sente que mon pompé commence à vouloir s’arrêter. Là, je le lèche une dernière fois et me dirige vers qui sait avoir attendu.
Que d’images de ce lieu me reviennent !
Un tout jeune homme qui se laissait caresser par des hommes plus âgés… Cherchait-il papa ou même papy ? Il a joui longtemps dans ma bouche.
Ce black très membré qui choisissait ceux qui auraient le droit de le toucher et de le sucer… De quoi se vengeait-il quand il disait non ?
Cette douceur des cuisses, ces ventres doux à caresser…
Et quand je suis en train de sucer, les yeux fermés, ces mains qui prennent mon sexe, ces mains autour de ma tête, ces mains sur mon dos et mes épaules…
Cet homme qui jouit dans ma bouche et son ami qui vient après m’embrasser pour retrouver le goût du plaisir de son compagnon, et qui après entraîne ma bouche vers son sexe…
Et puis, de temps en temps, certains couples vont plus loin, mais finalement assez rarement.
Mais quand il y a de réels accouplements, c’est viril, c’est chaud, c’est vivant et c’est la chaleur qui monte.
Je me rappelle ce jeune homme mince, couché sur le dos sur les tapis de sol, pris par un homme musclé, la quarantaine basanée avec des moustaches noires. Un Dupond/Dupont bodybuildé !
Il avait des coups de reins puissants, et tout autour d’eux des hommes nus et dressés qui faisaient courir leurs mains sur les deux corps reliés. J’avais la chance d’être assis sur le premier gradin, la tête du jeune homme entre mes cuisses ouvertes, ma queue dans ses cheveux. Je lui caressais les tétons, le ventre, les épaules et je sentais les coups de rei ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Branle, Fellation, Sodomie, Mûrs