Ce récit a été noté : 3.8 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
SAUNA NOSTALGIA 5

Publié par : ftc1962 le 09/12/2020

A ce point-là de l’après-midi, après le hammam, après la backroom, après les salons du deuxième sous-sol, si je suis fatigué, il m’arrive d’aller un peu dans la piscine centrale, ou de m’allonger dans un des transats d’à côté et de dormir . Il me faut récupérer un peu, ou compenser une nuit trop courte, avant que les choses les plus intenses ne débutent. C’est en effet là que vient un de mes moments favoris dans ce sauna.
A gauche des transats, il y a le couloir qui mène aux cabines. Un couloir central, avec tout de suite à droite un premier petit couloir où s’ouvrent les portes de deux grandes cabines. Ensuite, plus loin dans le couloir central, un premier croisement, trois cabines dans un couloir à gauche, quatre cabines dans un couloir à droite. Si on reste dans le couloir central, au bout, on arrive dans une pièce rectangulaire où s’ouvrent plusieurs cabines de tailles différentes, certaines avec un seul espace de jeux assez large pour deux personnes, ou bien assez large pour une seule, ou encore deux matelas d’une personne.
Moi, j’ai une cabine fétiche : celle du milieu, dans le petit couloir de gauche, avec un matelas à une place.
Comme je n’ai pas ( ou plus ) un physique de rêve, pour ne pas rester bêtement tout seul dans la cabine, je m’y allonge, avec la tête juste du côté de la porte, et non pas ma tête vers le fond de la cabine, comme le font beaucoup de mâles qui attendent.
Ma tête est donc juste à hauteur des serviettes enroulées autour des reins de ceux qui font le tour des cabines en quête au moins d’une fellation. Ma main entretient doucement la raideur de mon sexe, mes jambes sont ouvertes, ma bouche est disponible.
Le défilé peut commencer : ceux qui passent plusieurs fois, hésitent, qui ont envie mais qui n’osent pas de peur d’essuyer un refus, ceux à qui je ne plais pas ( et qui ne sauront donc pas ce qu’ils ratent ), ceux qui entrent, me caressent et ressortent tout de suite…
Et puis il y a ceux qui entrent et surtout qui restent, en fermant la porte, ou en ne la fermant pas.
Certains entrent pour me sucer, c’est vrai que je l’accepte assez rarement dès la première minute.
Ma préférence, c’est ceux qui, d’abord veulent ma bouche, idéalement à bonne hauteur.
Mes mains se glissent sous leurs serviettes, font glisser celles-ci, et j’embouche des sexes souvent déjà dressés Une de mes mains retourne à mon sexe, l’autre caresse des poitrines, pince des tétons…
Là, mon plaisir le plus grand vient quand je tombe sur un mec moins égoïste que la moyenne : un mec qui pense aussi à mon plaisir et dont les mains me caressent sur la poitrine et le ventre, prennent mon sexe et le branlent sans aller trop vite. Comme je prends les tétons en main, plus ou moins fort selon les réactions, les plus réceptifs me le font aussi, comme en miroir de mes caresses.
Je dois dire qu’au fil des ans, ressentir mes tétons fortement manipulés et pincés décuple mon plaisir de sucer. Ils ont d'ailleurs augmenté en volume et en rondeur.
Quand mon partenaire le comprend et me donne son sexe tout en me titillant, me pinçant les tétons, mon corps témoigne de mon plaisir, mon ventre ondule, mon sexe se dresse, je gémis et accentue mes mouvements de lèvres et de langue autour du mandrin que j’avale.
Certains me disent des mots crus : « petite salope…tu aimes ma bite, hein ? Prends la bien, je vais cracher et toi tu vas venir ? …» J’accompagne leurs mots d’une série de soupirs et gémissements (stupeur et tremblement aurait écrit Amélie) qui leur montre que je prends mon pied. C’est souvent là que je jouis pour la première fois de la journée, soit parce qu’on me branle, soit parce que je me branle.
Souvent la jouissance de l’un amène la jouissance de l’autre, et j’aime recevoir cette douche chaude sur les lèvres, dans la bouche quand le goût me plait, sur la poitrine.
Quelques partenaires veulent me prendre et je refuse assez peu s’ils me le demandent, d’autant que j’ai pu juger de la taille de leur sexe. Mon fantasme de pénétration n’est pas spécialement axé vers les gros calibres, un sexe de taille moyenne, voire de petite taille peut apporter tout autant de plaisir et en tout cas plus qu’un gros sexe trop brutal.
Dans ces cas là, si désir mutuel d'aller au bout, on peut migrer vers une des cabines plus grandes, avec des matelas qui permettent aux deux partenaires d’être allongés et de varier les positions.
C’est vr ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Bisexuel, Branle, Fellation, Sodomie, Mûrs