Bientôt les vacances et comme à chaque fois, ma pile de dossier à terminer est énorme.
J'enchaîne les heures supp (non payées bien sûr puisque je suis cadre) pour limiter la casse et pouvoir partir serein en congés.
Comme j'ai largement fait mes preuves, j'ai eu droit à une clef du bâtiment et un code sécurité pour mettre/retirer l'alarme en dehors des horaires classiques.
On est mercredi, reste 3 jours, et hier j'ai encore travaillé tard, mes dossiers sont quasiment bouclés.
Plus d'heure sup nécessaire mais j'ai eu, une fois de plus, une idée diabolique pour pervertir encore un peu plus Sophie et lui provoquer des sensations fortes.
Je lui avais déjà parlé du calme des bureaux le soir, contrastant avec le brouhaha et l'agitation de la journée. Eh bien ce matin, dès mon arrivée à 9h, je lui envoie un SMS de convocation :
"Ce soir je te fais découvrir la vie nocturne du bureau, rdv 20h à l'entrée du complexe je viendrai t'ouvrir."
réponse immédiate de sa part:
"Quoi? Mais t'es fou, toi t'as le droit d'être là n'importe quand, t'as un alibi, mais pas moi!
Si je me fais prendre?"
Je ne pouvais pas rêver meilleure réplique !
"Personne d'autre que moi ne te verra... ni ne te prendra! lol"
"Je ne sais pas, c'est les locaux du taff, ça craint un max."
"Ordre de ton maître, je ne te laisse pas le choix. Rdv 20h, soit à l'heure."
"Bon d'accord."
Parfait, elle avait validé et je savais avec l'expérience qu'elle ne rebrousserait pas chemin.

Histoire de faire monter la température, j'avais annulé notre séance de sport du midi pour la frustrer un peu et j'étais passé 2 fois dans son service, passant derrière son alcôve et discutant avec sa voisine...Mais sans lui parler à elle ni même la regarder, juste le petite "bonjour" de politesse pour ne pas éveiller l'attention de ses collègues.

19:00, les 2 derniers collègues, enfin, mon responsable et le directeur pour être exact quittent les locaux en me saluant.
Une heure pour finir le dernier dossier que j'ai prévu, c'est 3 fois plus que nécessaire mais j'ai tellement le palpitant à l'idée de jouer avec Sophie que le temps passe à 100 à l'heure.
19:55 je termine juste mon dossier, je ferme mon pc et passe aux toilettes me rafraîchir.
20:00 pile, je descend à l'entrée, pas âme qui vive.
Je vérifie m'a montré ..20:01
Je relève la tête et une voiture s'engouffre dans l'allée avec un appel de phares.
J'ouvre le portail automatique puis le referme dès que la voiture est entrée.
C'est bien celle de Sophie et elle va se garer juste derrière la mienne, invisible depuis la rue, la petite maline.

Je l'accueille et la fait monter jusqu'à mon plateau.
Dans l'escalier je profite de sa tenue, elle s'est changée : un top sans manche assez ample, bleu nuit à paillettes, un short en dentelles blanches sur lequel je l'avais déjà complimenté et des sandales en cuir doré. Elle a misé sur le côté pratique tant mieux.
"Poses tes affaires ici, tu vas avoir besoin de tes mains."
Je m'installe à mon bureau et lui rappelle une provocation qu'elle m'avait faite juste avant que notre relation bascule du côté obscur:
"Tu te souviens, tu m'avais dit un jour que si tu étais ma secrétaire privée tu ne serais pas toujours à côté, ni au dessus de mon bureau...Eh bien moi je n'avais pas oublié ! Alors montre moi comment tu te débrouilles en passant à 4 pattes sous mon bureau petite allumeuse.
Je m'installe en face de mon bureau, juste un peu en retrait histoire de profiter de la vue de cette belle cochonne que je vais régaler.
Elle s'est installée entre mes cuisses et déboutonne mon jean après avoir fait sauté la boucle de ma ceinture.
Je me soulève pour qu'elle fasse glisser mon jean jusqu'à mes chevilles et la voilà après embrasser mes mollets, mes genoux en remontant jusqu'en haut.
La voilà à présent en train de biser, embrasse, mordiller le coton de mon caleçon, frotter son nez, ses joues contre. Elle gobe la bosse qui se forme dessous, insuffle à pleine bouche l'air chaud qui sort de ses poumons, cela m'excite au plus au point et je tire mon caleçon sur le côté pour faire sortir mon sexe tendu par l'ouverture de la cuisse gauche.
En 2 aller-retour la voici déjà complètement engloutie dans la bouche de Sophie.
"Regarde ce que tu me fais faire, tout, je la veux toute entière, fais la moi bien sentir au fond de moi maître "
Après 2min de fellation au cours de laquelle je me retins de lui attraper la tête pour la laisser faire à sa guise je pousse les quelques fournitures de bureau qui traînaient sur le côté et amène Sophie à s'appuyer sur le plateau de mon bureau en la tirant par l'oreille. Un geste qui la mettait tant en posture d'obéissance que de coupable à corriger, son sourire traduisait le plaisir qu'elle en tirait.
D'un geste sec je lui mis le cul à l'air en faisant tomber son short aux chevilles. Oui, à lair, cette salope avait pris garde de ne pas mettre de sous-vêtements tant en haut qu'en bas. Une prise d'initiative que je ne manquais pas de saluer et la gratifier par une belle triplette de fessée avant de lui faire poser une sandale et un genou au dessus du dossier que je venais de finir.
Elle avait le dos cambré et je m'accroupis un instant pour lapper sa vulve, aspirer ses lèvres pendant que mes mains jouaient avec chaque partie de son postérieur, ses fesses à agripper, carresser, écarter, son anus à titiller, préparer...
Assez de préliminaires, je sais ce qu'elle veut et moi aussi.
Je me relève et presse mon gland contre ses grosses lèvres qui se dérobent instantanément pour engloutir d'un coup ma verge sur toute sa longueur. Si agréable que j'en pousse un râle de plaisir dans ce grand espace si silencieux et rien que pour nous.
Pour toute réponse Sophie m'attrape la cuisse et la tire à elle pour me demander de recommencer.
"Vas-y salop, baise moi sur ton bureau, baise moi bien fort"
"Ah ça te plaît petite salope de te faire prendre ici hein, t'aimes ça être une vilaine fille"
Je ne lâche pas ses hanches et fais claquer mon bassin sur ses fesses à chaque coup de rein. Si costaud soit-il, le mobilier sur lequel elle est appuyée prend autant que sa chatte, ils sont bien secoués et quelques accessoires en tombent.

Un dernier plantage de bite au fin fond de son vagin et je me retire.
"Remonte ton short on va se promener dans les locaux, je veux que tu aies l'occasion de repenser à cette soirée tous les jours quand tu viendras bosser, en visualisant les endroits où je t'aurais fait être là splendide petite chienne que j'éduque"
"Est-ce que j'ai le choix?"
"Et tu poses encore la question ? "
J'éclate de rire et elle aussi.

Je la fais passer devant moi, elle avance doucement pour que je puisse lui caresser les fesses, lui glisser quelques mots cochons doucement près de l'oreille.
Je l'ai guidé jusqu'à la salle de pause, je lui demande d'aller me servir un café. Elle s'exécute.
Immédiatement je lui prend les mains et lui pose écartées à chaque angle de la machine. Je pousse ses pieds pour faire de même avec les angles du bas.
"Ne bouge plus maintenant !" Je glisse ma main entre ses cuisses pour aller récupérer le café servi, elle se décolle légèrement pour que je puisse le faire puis je lui replaque le bassin contre la machine.
J'ai laissé le café sous elle, entre ses pieds.
"On va voir si tu es un bon distributeur de mouille de vicieuse"
Je lui attrape les cheveux pour lui faire relever la tête et agrippe ses seins d'une main puis de l'autre.
"J'ai bien étudié ta notice et je crois savoir où appuyer pour être servi"
je torture un de ses 2 tétons et la voit grimacer de plaisir.
De l'autre main je m'in ...

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