Dans les années 1975/85 cet endroit magique m'a beaucoup aidé dans le développement de ma sexualité.
Cela a commencé par des virées diurnes en voiture.
Les filles marchaient le long de la route , elles vous proposaient soit de laisser votre voiture et de s'enfoncer dans le bois pour vous sucer ou baiser debout contre un arbre, soit, et c'était ma préférence , de monter dans votre voiture et d'aller se garer dans un coin tranquille, loin des voyeurs.
Là, la fille mettait ses seins à l'air, remontait sa jupe pour donner accès à ses fesses et à son minou poilu, vous enfilait une capote ou pas...et commençait à vous sucer pendant que vous lui caressiez seins, sexe ou fesses.
Celles qui suçaient sans capote vous laissait éjaculer dans sa bouche, n'en perdait pas une goutte et aussitôt ouvrait la portière pour cracher sur le sol...
Pendant que vous remontiez votre pantalon, elle s'essuyait la bouche , elle vous tapait une cigarette et vous la rameniez à son point de départ ( ramène moi au bureau m'a dit une fois une fille avec beaucoup d'humour).
D'autres filles étaient en voiture, l'une au volant, l'autre à l'arrière vous suçait pendant que sa copine faisait quelques kilomètres sur le périph...!
Mes sorties sont devenues nocturnes et à cette époque, le Bois était un vaste baisodrome.
C'est là que j'ai découvert les trans....les femmes à bite....
A l'une des entrées des routes du Bois, une sud américaine, était appuyée à une Mercèdes, le sexe à l'air, un sexe qui lui pendait jusqu'au genoux....l'affiche du film, la bande annonce !!!
Dans certaines allées, les trans étaient regroupées par groupe de 3 ou 4.
Vous descendiez de voiture, les approchaient et l'une d'elle vous mettait la main au panier. Si vous tentiez le même geste, elle se reculait, vous annonçait le montant du petit cadeau....

La nuit, la trans ne s'éloignait pas trop de la route et , pour vous sucer, pour se faire sucer , vous prendre ou se faire prendre, vous n'étiez qu'à quelques dizaine de métres de la route.
Les voyeurs pullulaient , les trans les repoussaient, certains clients aussi, d'autres non.
J'ai toujours accepté être regardé, cela faisait aussi partie du plaisir pour moi.
Pour faire monter mon excitation ( si tant est que cela soit nécessaire) m ...

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