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Stage chez un Maître ( suite - chapitre 15 à 18 )

Publié par : soum65 le 22/05/2017

Chapitre 15 ( suite )

J'ai entendu des bruits de bottes, c'était Annie, elle m'a retiré le bandeau, elle était cul nu toujours balafrée avec un pull et des bottes, elle m'a dit venir me détacher, elle a commencée par les pieds, elle m'a dit de rapprocher mes pieds et je l'ai entendu raccrocher les chaines de façon a ce que mes chevilles soient entravés, ayant pu redresser mes jambes, la tension sur les bras était moins forte, elle a détaché la main gauche et j'ai commencé à tituber, elle a détaché la main droite et je me suis écroulé dans la boue étant incapable de rester debout, elle m'a dit de réagir car il fallait qu'elle me ramène à la maison, elle a tiré sur la longe et j'ai réussi a me mettre à quatre pattes et à avancer jusqu'à la semelle en béton, j'étais dans un état lamentable, elle m'a positionné le long du mur, et elle est revenue avec un bol de lait, je l'ai bu avidement, le maitre est sorti, a regardé mon corps, a palpé mes couilles brutalement en me disant que c'était très bien, il faut dire que je voyais par dessous étant à quatre pattes mon sexe qui était très enflé avec d'innombrables traces de piqures et mes couilles avaient au moins doublés de volumes et avaient également des boursourflures assez imposantes, il a vu le bol et a demandé à Annie ce que c'était c'était, elle lui avoué m'avoir fait boire un bol de lait, elle a prise une gifle magistrale, il lui a ordonné de me le faire recracher, elle a donc mis ses doigts dans ma bouche et a réussie au bout d'un certain temps à me faire vomir, il lui a dit d'enlever son pull, a été chercher une cravache et il l'a cravachée plusieurs fois en lui disant que c'était lui qui décidais si je devais boire ou pas, elle criait car il fouettait très fort. Elle lui a demandé pardon en, lui disant qu'elle ne le ferai plus. Il lui a dit de s'habiller qu'il devaient aller faire des courses, il m'a laissé là, un moment après, Annie est revenue en mini-jupe et en débardeur, m' remis le bandeau sur les yeux, elle m'a trainé jusqu'à une caisse en bois d'environ 1m de long x 80 cms environ de hauteur x 60 cms environ de large, bref un cube, que j'avais déjà vu pas loin de l'étable, elle a ouvert une porte sur un côté de la caisse, m'a amené devant l'entrée, m'a pris les mains et les a attachées dans mon dos avec des menottes , de cette caisse sortait une odeur effroyable et il y'avait plein de grosses mouches à l'intérieur, je les entendais, puis elle m'a obligé à rentrer à l'intérieur, c'était exigu avec plein de brindilles et de bouts de bois à l'intérieur, je ne voulais y rentrer, elle a attrapé mes testicules et les a serrées, j'avais très mal et j'ai pénetré tant bien que mal dans la caisse une fois rentré, je ne pouvais pas bouger vu l'éxiguité de la caisse, j'étais à quare pattes avec l'odeur pestilentielle devant le nez, elle a fermé la porte, il y faisait horriblement chaud car elle était posé en plein soleil. J'ai failli revomir tellement que l'odeur était forte. En farfouillant avec mon menton, j'ai senti un récipient métallique ouvert d'ou venait l'odeur, ce devait etre de la merde. Les brindilles et bouts de bois commencaient à pénétrer mes chairs, j'ai entendu la porte s'ouvrir, le maitre m'a dit qu'ils partaient faire des courses et que je devais en profiter pour me reposer !!!, facile à dire dans les conditions ou j'étais. Il a refermé et j'ai entendu une voiture partir. Il y avait très peu d'air qui devait passer par quelques petits trous, je transpirai de plus belle et les mouches me couraient dessus, devaient se régaler de mes plaies, ces saloperies rentraient partout et me courraient sur tout le corps,. Certaines essayaient de pénètrer dans mes trous de nez, de passer sous mon baillon

Chapitre 16 ( suite )

Il devait rester sur ma peau et surtout dans mon anus des morceaux de miel, car j'y ai senti une armée de mouches. C'était l'enfer
Il s'avère qu'ayant les mains attachées dans le dos, je n'ai aucun support pour me reposer, mon visage était a environ dix centimètres du seau, mes genoux reposaient sur des bouts qui bois qui me rentraient dans la chair, je me demandais combien de temps allais-je rester là ? J'ai senti quelque chose d'assez gros et qui semblait être un frelon se poser sur mon anus, j'ai pris peur, je le sentait grignoter le miel restant, tout à coup, j'ai senti une piqure terrible à l'entrée de mon anus, il venait de me piquer, il semblait affolé car il ne devait pas trouver le trou de sortie, la piqûre me faisait mal et je la sentais enfler à vue d'œil, je n'osais plus faire un geste. Pendant ce temps, les mouches continuaient sur mon corps, je ne pouvais pas bouger car mon dos avec les mains attachées derrière touchait le le plafond, le seau était relativement haut et m'obligeait a avoir la tête au dessus, j'étais aux premières loges pour respirer ces odeurs nauséabondes, j'ai tiré mon chapeau au maître devant tant d'ingéniosité, il fallait y penser !!!

J'ai donc continuer à espérer leur retour, la chaleur devenait accablante, je ne pouvais presque plus ouvrir mon œil, je suais à grosses gouttes, j'avais très mal à l'anus, au dos et aux couilles, j'aurai voulu voir dans quel état étaient mes testicules, le bandeau m'en empêchait. Une pensée saugrenue m'est venu, je n'avais pas pissé de puis mon arrivée de la veille à midi ?? Très longtemps après, j'ai entendu la voiture revenir, je les ai entendus rigoler, ils ne sont même pas venus voir si j'étais toujours vivant, ils sont rentrés dans la maison et je n'ai plus rien entendu, à part le bourdonnement des mouches et autres insectes. J'avais soif, mal à la gorge car le fait qu'Annie mette ses doigts au fond ma gorge m'avait irrité, j'avais faim aussi, mais il ne semblaient pas s'en soucier. Tout à coup, la porte de la caisse s'est ouverte et Annie m'a dit de sortir, ce que j'ai fait à reculons ne pouvaient faire autrement, j'étais content, les mouches s'étaient dispersés et j'avais l'impression qu'il faisait frais. J'étais à quatre pattes dans les graviers, elle a vu que mon anus était enflé, a passé la main dessus, j'ai sursauté de douleur. Elle m'a laissé là en me demandant si j'étais bien dormi, j'ai hoché oui car le fait de hocher non aurait pu m'occasionner d'autres sévices. Elle a refermé la porte, et m'a amené à côté de l'étable, les vaches étaient dedans depuis la veille au soir, elle m'enlevé le bandeau, a regardé mon œil et a fait la grimace en me disant que j'allais avoir un splendide œil au beurre noir !! Elle a pris le baillon-bite qu'elle avait amenée avec elle, j'ai regardé mon sexe d'un œil furtif, il n'était pas beau du tout, plus ou moins noir, énorme ainsi que mes couilles qui avaient une couleur violacés. Elle marchait devant moi, elle était nue et balafrée sur tous le dos et sur les fesses, elle était magnifique, avait le sexe épilé, un piercing à chaque lèvre du sexe, Elle m'a mis le baillon à l'entrée de l'étable elle m'a fait entrer dans le premier box toujours à quatre pattes et m'a posé à côte de la vache, elle m'a dit qu'elle devait m'apprendre à traire car il fallait qu'elles le soient tous les jours.

Chapitre 17 ( suite )

Elle a pris un tabouret, s'est assise dessus, m'a dit de me mettre à genoux à côté d'elle et de regarder comment elle faisait. Elle a pris un seau, l'a déposé sous les tétines, a pris un pis dans chaque main et a commencé à faire un mouvement de haut en bas, le lait a commencé à j ...

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