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Stage chez un maître

Publié par : soum65 le 15/05/2017

Relation d'une aventure débutée le vendredi 08 juillet 1998

Au mois de juin 1988, j'ai acheté dans un kiosque à journaux une revue érotique qui s'appelait D..I, à cette époque là, je vivais seul, je l'ai donc épluché le soir venu, et je suis tombé sur une annonce qui proposait un stage pour du travail et du plaisir d'une durée de trois jours à la campagne pour un soumis fortement maso, séjour gratuit moyennant quelques heures de travaux manuels !!!, cette annonce était située dans la région bordelaise, c'était pas trop loin de chez moi, du côté de Bordeaux. Il fallait répondre en laissant une adresse, une photo et une lettre de motivation, et la revue D..I ferait suivre. J'ai donc envoyé un courrier avec ce qui était demandé, la personne m'a répondu huit jours plus tard en me fournissant une feuille, une sorte de curriculum vitae de mes pratiques sexuelles ou je devais cocher une case sur trois , ( exemple : aime-tu être fouetté il y avait très hard / hard et soft, ) sur la case scato, j'ai coché non, sur tout le reste, j'ai coché oui, j'ai donc rempli le formulaire , je l'ai signé à sa demande et lui ai transmis par fax ( à cette époque, j'en avais un ) à un numéro qu'il m'avait donné, d'autre part, j'avais pour instruction de lui ramener un exemplaire papier signifiant que j'étais la selon mon désir, que j'étais entièrement responsable et que je déchargais Monsieur ……de toute responsabilité en cas de problème, signé de ma main avec moi. Le lendemain soir, il m'a téléphoné au numéro que je lui avais joint sur le FAX en me disant qu'il était intéressé et m'a redemandé si j'étais toujours d'accord, que j'allais en chier car il était sadique, adorait cravacher, et faire souffrir !! J'ai répondu que oui, j'étais costaud et habitué aux coups.
Il m'a demandé si je pouvais être libre le vendredi 08 juillet à midi et jusqu'au lundi matin neuf heures, j'étais libre de toute attache à cette époque et j'ai répondu oui. Il m'a donc ordonné de prendre un papier et de noter les instructions qu'il allait me donner. Il m'a donc fixé rendez-vous pour ce vendredi à midi précises. Il m'a dit que je devais prendre l'autoroute à Langon et prendre la sortie suivante, il m'a fait un petit plan, car c'était vraiment le bled profond, à un carrefour en pleine campagne ou il y'a avait un calvaire , je devais l'attendre debout, les deux mains posées sur le capot, les jambes écartées, sans bouger, je devais être en mini-short et en tee-shirt à manches courtes avec une paire de sandales et en me menaçant que si je n'étais pas là à midi précises, il repartait et que je pourrai rentrer chez moi. Tous les jours suivants, j'ai piaffé d'impatience jusqu'au matin fatidique, j'avais très peu dormi car je me suis fait mon cinéma toute la nuit, je me suis levé à 6h30, fait ma toilette. Je suis parti à 7h30, j'avais prévu large car la route de Bordeaux à cette époque était très difficile, je suis arrivé à 12h15 sur le lieu indiqué, il n'y avait pas une maison à l'horizon. Pas un véhicule n'était passé. A 12h28, je me suis mis en position sur le capot de la voiture qui était en plein soleil, il faisait très chaud ce jour là; à peu-près 25 / 30 degrés. J'ai attendu 25 minutes, ( je l'ai vu à la montre de ma voiture ), je commençais à bouillir de chaleur quand j'ai entendu une moto arriver et s'arrêter à côté de la voiture, il est descendu sans un mot, c'était un bel homme d'une quarantaine d'années, bien baraqué, crane rasé, yeux bleus, il m'a dit de me déshabiller, ce qui fut vite fait vu que j'était presque à poil, il m'a dit de remonter dans ma voiture et de le suivre, il a quitté la route et emprunté un chemin de terre bien carrossable sur au moins un km, là j'ai vu une grande batisse, il est entré dans la cour, il est venu me dire de stationner ma voiture à un endroit précis et de lui donner les clés. Il m'a dit de le suivre jusqu'à l'entrée de la maison, de me mettre à genoux les mains sur la tête et de l'attendre. Au bout d'un certain temps, il est revenu et m'a demandé le papier signé de ma main que je devais lui ramener, je lui ai répondu que je l'avais oublié dans la voiture, il m'a dit de mettre les mains dans le dos et, à peine cela fait, j'ai reçu deux gifles magistrales, j'ai vu trente-six chandelles, il m'a redonné les clés et m'a dit d'aller le chercher en marchant à quatre pattes dans les graviers et en ramenant le papier entre mes dents ( il y avait bien 200 mètres jusqu'à la voiture ).
Quand je suis revenu, il m'a dit que je lui appartenait jusqu'au lundi matin et que je n'avais pas le droit de prononcer une parole, sinon, il allait me mettre un baillon-bite, je mourrai de soif mais j'osais pas lui demander un verre d'eau, il m'a dit qu'il n'était pas question que je rentre dans la maison et que je dormirai dehors les trois nuits à l'endroit qu'il lui plairait. J'étais toujours à quatre pattes car il ne m'avait pas dit de me relever, il a appelé quelqu'un du nom d'Annie en lui demandant d'apporter les accessoires. Une femme relativement belle, entièrement nue, est apparue avec à la main un collier de chien, une paire de menottes et un paire de sabots, elle s'est assise sur mon dos et m'a mise le collier en le serrant assez fort, ensuite, elle m'a mis les menottes aux chevilles ( la chaine faisait à peu-près 20 à 25 cms ), mon visage tournait au cramoisi car le collier était trop serré, elle s'en est rendu compte et l'a desserré, m'a dit de lever la tête, aussitôt, elle m'a donné deux gifles en me demandant pourquoi je n'avait pas dit que le collier était trop serré !! J'ai eu le malheur de lui dire que son mari ? m'avait ordonné de ne pas parler, il était derrière moi et m'a cravaché violemment les fesses et le dos. Il a dit a Annie d'aller chercher le baillon, elle devait être soumise aussi car quand elle s'est retournée, elle avait les fesses balafrées de coups de cravache, ce qui m'a permis d'admirer son très beau fessier, il lui a dit de me le mettre, ( c'est un baillon en cuir avec un sexe en cuir d'une dizaines de centimètres de longueur et environ 4 cms de diamètre ), qui remplit la bouche et oblige a avoir les machoires écartées, après avoir attaché les lanieres, j'étais dans l'incapacité de dire un mot.
Il m'a fait mettre à genoux, je saignais légérement depuis mon escapade sur les graviers, il m'a dit que son premier voisin était à 800 mètres, et que nous allions avoir une paix royale. Je commençai à sentir la morsure du soleil sur ma peau, et j'avais le dos brûlant suite aux coups reçus, il était derriere moi, Annie devant et m'a demandé si j'avais soif, je lui ai fait signe que oui en hochant la tête. Tout à coup, j'ai senti un jet chaud sur mon dos, le jet se déplaçait au rythme de son pas, il s'est mis devant moi, a uriné sur le haut de mon visage en inondant mes yeux et mon nez, l'urine entrait sous le baillon et rentrait dans ma bouche, une fois terminé, il m'a dit que je n'avais pas à demander à boire.


2éme chapitre 1er jour
Il m'a ensuite dit que j'avais interdiction de me mettre debout ou assis sauf sur autorisation pour travailler, qu'il allait me raser la tete mais qu'auparavant, il allait manger et faire une sieste. Et que une fois ma tete rasé, il me mettrai au boulot, ( cela m'a rappellé que, dans le questionnaire, il demandait si j'acceptait d'avoir la tete rasée, j'avais répondu oui ). Il m'a fait me déplacer jusqu'à l'entrée d'une étable, la il y avait un anneau avec des chaines à environ un mètre de hauteur, il m'a enchainé les mains, il y avait un avantage, c'était à l'ombre, ils m'ont laissé là, il devait y avoir 6 ou 7 vaches à quelques mètres de moi. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il pouvait être mais il faisait très chaud. Au bout d'un moment, je me suis assoupi, écrasé de chaleur et déjà de fatigue et je me suis réveillé en entendant des bruits de pas sur les graviers, j'ai vite repris la position car j'étais à moitié assis, c'était lui avec un tabouret à la main, Annie suivait derrière avec un tondeuse et une rallonge, il m'a détaché les mains et fait sortir dehors à quatre pattes, il a posé le tabouret, m'a fait approcher et m'a dit que je puais, bien sur, il m'avait pissé dessus et beaucoup sur la tête.

Il s'est relevé, a dit à Annie d'aller chercher une longe, il m'a m'a dit de me positionner sur les graviers, ensuite, il est revenu avec un tuyau, l'a mis en marche, il s'agissait d'un nettoyeur haute pression, il a commencé sur mon crane, en descendant dans le cou puis est remonté sur mon visage en insistant sur le front, le nez et les joues, des gouttes ont coulés dans le baillon ce qui m'a permis de pouvoir humecter ma gorge, mais cela me donnait le tournis, quand il a estimé que ma tête était propre, il a fait le tour, a introduit l'embout dans mon anus et a mis l'appareil en marche, la puissance était telle que pratiquement toute l'eau est rentrée dans mon cul comme un lavement, ensuite il l'a sorti et m'a arrosé les couilles de très près, cela m'a fait horriblement mal et je me trémoussais pour essayer d'échapper à la pression, cela le faisait rire car il disait que ca me faisait prendre mon pied.
Il m'a fait remettre à l'entrée de l'étable de ...

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