Philippe me propose de diner ensemble au restaurant de l’hôtel avant de recevoir un acteur avec lequel il a planifié de faire une répétition d’un court métrage dont il me procure le scenario.
Le scenario m’excite à la lecture d’autant que Philippe passe son pied sur ma verge sous la nappe. Il a retiré sa chaussure et il sait y faire pour me procurer une érection dont il se vante en plantant son regard dans le mien, en me disant : « Hum, c’est bien dur ! »
Nous dinons et nous rejoignons la suite de l’hôtel où l’acteur doit nous rejoindre. Il arrive. C’est un noir aux cheveux longs teints en blond. Il est assez musclé et grand. Dès le début, je remarque la bosse au niveau de son entrejambe et je fais le lien avec le scenario.
Je comprends vite que je suis le deuxième acteur du scenario… Du coup, j’ai moi aussi la bosse en imaginant la suite. Philippe s’en rend compte et me sourit. Il nous montre nos tenues et nous demande de nous en revêtir.
L’excitation est à son comble pour moi : je dois m’habiller en soubrette avec une perruque. C’est Philippe qui me maquille en caressant ma bite avec son genou. Il glisse également un gros plug dans mon fondement.
Clap de début, Philippe est à la caméra. Johan (l’athlète noir) sort de la suite et sonne à la porte. Je lui ouvre et Johan me tend sa veste que je saisis après l’avoir salué. Il me demande de m’annoncer à mon maître et je lui propose de s’installer dans l’antichambre en attendant.
Je le quitte avant de le rejoindre, l’air troublé, car mon maître est en train de forniquer avec son amant. Johan me sourit et appuie sur mes épaules afin que je me baisse et quand mes genoux touchent le sol, ma bouche se situe au niveau de son sexe. Un début d’érection est évident et pris en gros plan par la caméra de Philippe.
Johan ouvre en grand sa braguette et sa bite énorme, demi molle, en sort car il ne porte aucun sous-vêtement. Elle cogne mes lèvres et en force l’ouverture. Je n’avais jamais vu un chibre d’un tel calibre et je sais que je ne pourrai jamais le prendre en gorge profonde. Pourtant, j’essaye. J’ouvre grand la bouche et ma langue caresse ce gland énorme, encore souple et à la peau si douce ! J’aime l’odeur et le goût : le précum est déjà sécrété.
Ce chibre se durcit rapidement et il me remplit la bouche. Il s’enfonce en moi et atteint déjà mes amygdales, provoquant un premier haut-le-cœur. Je veux tenir mon rôle d’acteur porno gay et je maîtrise ma respiration. J’accepte que ce pieu entre dans mon œsophage et je me persuade que c’est possible. Johan force une deuxième fois en vain mais à la troisième reprise, alors qu’un flot de bave visqueuse dégouline de ma bouche et englobe cette bite démesurée, son gland dépasse mes amygdales : j’effectue ma première gorge profonde. Johan me regarde avec un air surpris et satisfait à la fois.
Il effectue des allées venues en progressant en profondeur de plus en plus, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre mon menton. Il se complait dans cette situation mais il en veut plus. Il me pousse en arrière pour que ...

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