l me tend un gros collier de chien... Je l'attache autour de mon cou. Il me montre une chaîne de 2 mètres environ, suspendue à un crochet.
- Accroche ta laisse.
- Oui Maître.
- Tends moi la chaîne.
Je lui tends l’extrémité de la chaîne.
Lève toi.
Sans dire un mot, il me tire vers la sortie de l'écurie... Il se dirige vers son pick up. Il ouvre la portière arrière.
- Monte.
- Comme ça, Maître ?
- Tu veux peut-être une robe de soirée ?
Je sais qu'il vaut mieux ne pas insister. La voiture est un outil de travail... l'arrière n'est pas vraiment propre... entre les traces de boue et les reste de paille, je ne me sens pas vraiment à l'aise. Seul avantage, les vitre sont fumées très foncé et on ne peut donc pas me voir de l'extérieur.
- Mets ta ceinture.
- Oui Maître.
- Mets toi sur la place du milieu, que je puisse te surveiller et écarte bien les genoux que je voie bien ce qui te sert de bite.
- Oui, Maître.
Il démarre et nous voilà partis sur cette départementale... Surprise, il prend la bretelle d'accès à l'autoroute A20... vers le Nord. Bessines... On continue... bretelle de la N145,direction Montluçon... Mais où va-t-on ?... Je sais qu'il ne faut pas que je pose la question... Je ne peux m'empêcher de penser à ce qui pourrait arriver si nous avions un contrôle de police ou pire, un accident... Avec moi, à poil à l'arrière de cette bagnole...La Souterraine... On continue... Au panneau de l'Aire de repos de L'espérance, il ralentit et nous quittons la route...
Il fait maintenant nuit noire... La voiture s'arrête sur la parking véhicules léger, devant le bloc toilettes. Il coupe le moteur... Il ne dit rien... Silence... Il consulte son Iphone... Je suis toujours attaché, tout nu, sur le siège central.
- Détache toi.
- Oui Maître.
- Descends.
- Comme ça ?
- C'est la deuxième fois que tu poses cette question. Quand je dis descends, tu descends. Un point c'est tout.
- Oui, Maitre, excusez moi.
Tout nu et en tenant la chaîne de ma laisse, je descends du pick up. Je suis très mal à l'aise, sur ce parking désert, nu au milieu de la nuit. Il saisit la laisse et me tire en direction des toilettes... Heureusement, il n'y a aucune autre voiture en vue. Mais le parking poids lourds est à une centaine de mètres... L'entrée des toilettes est très éclairée... Le sol est mouillé et je suis pieds nus... très désagréable avec cette température pas très élevée... Il me conduit dans les toilettes pour handicapés. Elles sont grandes et à peu près propres... Il attache la chaine à un tuyau qui descend de la charpente... Il sort un bandeau de sa poche et me bande les yeux... et il s'en va... sans un mot. J'entends la porte se fermer, mais pas se verrouiller... j'en déduis qu'elle est restée ouverte.
Me voilà totalement nu, « aveugle » et attaché dans les chiottes d'une aire d'autoroute, en début de nuit...
Je n'ai aucune idée du temps qui s'est écoulé avant d'entendre des voix qui s'approchent... étrange sensation que celle de se sentir offert, nu, sans aucune protection, au bon vouloir de personnes dont on ignore tout... Je reconnais la voix de Maitre... ça me rassure un peu...
- Voilà, la salope promise est là... Elle est à vous... Elle est dressé à servir d'urinoir, mais vous pouvez en disposer pour ce qui vous fait plaisir.
- Pas de première jeunesse, ta pute...
- C'est vrai, mais elle est très docile et un vrai urinoir, c'est long à dresser.
- C'est vrai... alors petite pute... Mets toi à genoux.
Je m'exécute... le sol est tout mouillé... eau ou pisse ?... même si c'est propre pour des WC d'aire de repos, ce n'est pas vraiment clean...
- Ouvre la bouche.
Je s ...

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