Il y a quelques jours, je vais satisfaire un besoin pressant dans les toilettes du centre commercial, sans arrières pensées cochonnes (pour une fois...). Je m'installe dans l'avant dernière cabine, quand j'entends des cris étouffés venant de celle du fond... serait-ce ce à quoi je pense ? Ou quelqu'un qui appelle à l'aide ? N'écoutant que mon tempérament secourable, et au prix de quelques contorsions, je réussis à jeter un œil sous la cloison... pas de problème, ce sont deux jeunes mecs en pleine santé, il n'y a qu'à voir la fougue avec laquelle leurs bites se dressent l'une face à l'autre ! Bientôt j'en ai confirmation :
- suce moi !
- oui....
et les bruits qui accompagnent leurs paroles ne laissent aucun doute sur la nature de leur conversation. J'imagine la scène et bien sûr ma bite réagit au quart de tour comme pour montrer qu'elle voudrait bien se joindre à la fête... Pour calmer son ardeur je glisse mon téléphone sous la cloison pour capturer quelques secondes de leurs ébats, l'image n'est pas parfaite mais c'est bien suffisant pour profiter du spectacle, l'imagination faisant le reste !
Je n'y tiens plus et commence à me caresser à la cadence des bruits de succion qui me parviennent. Ils ne font vraiment aucun effort pour rester discrets, comme s'ils étaient seuls dans les toilettes, alors même que le bruit de la porte d'entrée indique des allées et venues... soudain j'entends frapper à la porte d'à côté :
- Sécurité... qu'est-ce qui se passe ? ouvrez !
C'est un des vigiles qui passent régulièrement surveiller les lieux, pas dupes de la nature des besoins pressants qui poussent pas mal de mecs à tourner et retourner entre toutes les toilettes de ce beau lieu... Coupés dans leur élan, mes deux jeunes voisins restent cois... mais j'entend le vigile déverrouiller la porte de leur cabine, rentrer, et refermer le verrou derrière lui ! Je l'entends chuchoter :
- faites moins de bruit, vous allez ameuter tout le quartier, des gens vont encore venir se plaindre de ce qui se passe dans nos toilettes !
- ...
- voilà pour vous faire pardonner...
Un calme suspect revient, les petits jeunes dans la cabine d'à côté ont-ils été stoppés dans leur élan ? La curiosité est la plus forte, je me risque à nouveau à mater sous la cloison : le vigile est adossé au mur, beau mec que son pull rouge de pompier rend encore plus viril avec son pantalon bleu d'uniforme qui lui moule bien le cul... et l'un des minets qui s'évertue à lui gober son engin en entier, en s'étouffant à moitié, pendant que l'autre s'astique la sienne, debout, avant de réclamer sa part et de prendre le relais. Heureusement que la cabine est vaste !

A défaut de pouvoir participer, je mate comme un fou, mon côté voyeur sans doute... le vigile a maintenant pantalon et boxe ...

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