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Tata est vraiment une salope (2)

Publié par : bipourfun le 11/03/2024

Après notre baise incestueuse de l'après midi, tout est revenu dans l'ordre comme si de rien n'était.
Le soir même nous dînons, ma tante, mon oncle et moi. Le repas est ponctué de souvenir de jeunesse et d'anecdotes sur les membres de notre famille. Tonton, fidèle à lui même, passe plus de temps à se servir des verres de vin qu'autre chose. En moins d'une heure il est déjà presque cuit et Laurence et moi commençons à ne plus comprendre ce qu'il nous raconte.

Je me rends compte à quel point le quotidien de ma tante doit être difficile.
Nous terminons notre repas, mon oncle ne tient déjà presque plus debout et pars se coucher 30mn après.

Je file dans ma chambre, encore plein du plaisir de ma baise de l'après midi. Mon oncle ronfle à peine que je reçois un SMS de Laurence. Simple et rapide, elle m'envoie :

"Tu m'as bien défoncé le cul coquin ! J'ai adoré la manière dont tu m'as léché le trou de balle !"

Je lui réponds :

"Et tu m'as bien fait cracher !"

Le SMS suivant est encore plus agréable à lire :

"Je peux te rejoindre ? On pourrait dormir ensemble..."

Ma réponse est sans équivoque :

"Viens, par contre on ne va pas dormir... On va baiser !"

Laurence débarque avec une petite nuisette et me confie qu'elle vient de s'épiler intégralement. Chose qu'elle ne faisait plus, délaissée elle n'y voyait plus d'intérêt.
Je lui retire le peu de tissu qui la recouvre et me déshabille également. On s'allonge sur le lit et ma tante me demande si elle peut me sucer la queue. Je lui réponds en attrapant sa tête que je pousse vers mon bas ventre. Elle commence par titiller mon frein avec la pointe de sa langue, c'est délicieux la façon qu'elle a de faire monter le sang dans ma bite. Elle me lèche délicatement de longues minutes, ce qui a pour effet d'emmener ma queue à son point de bandaison maximum. Laurence engouffre ensuite la totalité de mon engin dans sa bouche, mon gland titille ses amygdales. Il n'y a pas à dire, ma tante est une sacrée suceuse.
Elle aspire fort comme si elle voulait me siphoner les couilles puis au bout de quelques minutes elle me demande si je peux lui baiser la bouche. Elle a vu ça dans un porno et ça l'excite d'être l'esclave d'une bite qui lui martèle la gueule. Laurence s'allonge alors et je viens me positionner comme pour un 69. J'enfonce ma verge jusqu'à ce que mes couilles soient collées à son nez. Je commence par de lents va et vient, histoire de mesurer gentiment la capacité buccale de ma tata. Mon gland, à l'étroit dans cette trachée me donne un sentiment de surpuissance.
Entre deux allers retours ma tante me demande :

"Vas y plus fort, je veux avoir mal à la gorge, être à la limite de vomir. Je veux me sentir comme une actrice porno qu'on utilise comme un bout de viande !"

Je commence alors à lui ramoner la tronche, je mets toute l'amplitude possible et balance d'énormes coups de rein. Ses bruits de déglutition m'excite au plus au point. Je lui défonce la bouche comme elle le voulait et elle se branle en même temps, ce qui fait couler sa cyprine de son antre sans discontinuer. Malgré les hauts de coeur de Laurence, je ne m'arrête pas, à ce moment là elle pourrait vomir que je continuerais.
Je suis comme un dingue, je transpire comme un boeuf, je mets véritablement toute mon âme à ramoner la tronche de tata. Je ne tiens plus et lui remplit la bouche et la gorge de foutre.
Je me retire et ma tante me dit alors :

"Merci c'est trop bon ! Je me sens à nouveau comme une femme desirable avec toi, ça fait des années que je n'avais pas ressenti autant de plaisir, autant de désir. C'est tellement bon de sentir que je t'excite, à bientôt 62 ans, c'est presque inespéré d'avoir un bel étalon comme toi dans mon lit !"

C'est vraiment là que j'ai compris que désormais Laurence était plus que ma tante, elle devenait ma maîtresse et notre relation n'était pas prête de s'arrêter.
Ma tante vient à peine de finir d'avaler ma semence qu'elle me demande si je veux bien la faire jouir de nouveau avec ma langue. Elle a particulièrement apprécié lorsque je lui ai dévoré le trou de balle. Elle me dit qu'elle a vraiment ressenti que j'aimais fourrer ma langue dans son sphincter.

Je lui propose de s'asseoir sur mon visage, j'ai envie qu'elle m'étouffe avec son gros cul de salope. Elle se positionne à califourchon, écarte ses deux grosses fesses et pose son anus sur ma bouche et sa chatte sur mon nez. Elle balance ses hanches d'avant en arrière, stimulant ainsi son clitoris. La chatte de ma tante dégouline, elle me tartine la gueule de son jus et c'est véritablement excitant. Son trou du cul se dilate avec une telle facilité et cette position favorise encore plus son ouverture. Ma langue s'enfonce profondément dans son colon et je me délecte de la douceur de sa muqueuse. Elle accélère ses mouvements et je sens qu'elle va atteindre l'orgasme quand elle se met à me tirer les cheveux, exerçant une pression supplémentaire pour que je la fouille au plus profond. Elle se met à geindre sans retenue, la peur que mon oncle nous entende ne fait qu'accroître mon plaisir et à première vue celui de tata aussi. Son élastique anal a perdu toute sa tenue, ses muscles sont totalement relâchés et son orifice s'étend de mon menton à ma lèvre supérieure. Je ne cesse de faire bouger ma langue ce qui rend dingue Laurence. Elle me dit des cochonneries qui me motivent à ne pas m'arrêter indépendamment de la fatigue :

"Oh oui mon neveu ! Continue à me fouiller le cul c'est trop bon ! Tu vas encore me faire jouir comme une salope ! Je vais te gicler sur la gueule ! Je suis sûre que tu vas adorer gros cochon !"

Elle joint le geste à la parole et astique vigoureusement son clito tout en augmentant la cadence de ses coups de reins jusqu'à ce qu'elle explose. Je me prends 3 gros jets de cyprine dans la tronche, elle m'inonde à m'en noyer. J'éjacule sans même avoir touché à ma queue, ma tante vient de me donner un orgasme que je pourrais presque qualifier de psychologique. J'en ai bouffé des culs mais celui de tata est un des meilleurs, c'est surtout un de ceux qui se dilate le plus que j'ai pu connaître.
Épuisée, Laurence s'affale sur le dos et me laisse admirer son trou dilaté. Motivé à emmener tata dans la débauche la plus totale, je m'extirpe de sous son corps et la retourne sur le ventre et je lui dit :

"T'es vra ...

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