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Tu seras un homme, jeune homme! 2/3

Publié par : hhelle le 09/09/2022

Le mardi soir, sois quatre jours après ma rencontre avec celle que je dois appeler Madame, je suis à l'heure au rendez-vous. J'ai apporté des fleurs et du champagne, elle est agréablement surprise, puis met tout de suite les choses au clair : elle sera ma Maîtresse, jamais rien de plus.
Cette fois, nous parlons peu, elle me laisse me déshabiller et va se changer après m'avoir conduit à la chambre.
La décoration a un peu changé. Je ne remarque pas tout de suite l'absence du lustre au dessus du lit, l'éclairage étant tamisé. C'est en l'attendant que je vois qu'à la place il y a un solide crochet.
Elle apparait, vêtue d'un corset à l'ancienne qui fait ressortir dangereusement sa poitrine. Un porte jarretelle où s'accroche des bas noirs, et un string. Elle a les mains chargées de harnais, d'une cravache et d'un martinet de cuir. Elle dispose le tout sur une table basse, me laissant admirer sa croupe. Mais attention : pas touche!
Elle m'attache les poignets avec deux bracelets de cuir épais retenus par une chaine, serre fort et fixe le tout au crochet en montant sur le lit. J'ai son décolleté princier sous les yeux, et ne peux me retenir d'y plonger la langue, renifler son parfum, lécher sa peau douce. J'ai droit à une petite gifle, puis une bonne fessée. je ne peux m'y soustraire ; Madame a calculé parfaitement la longueur de la chaine et je ne peux pas m'échapper.
Elle soupèse ma queue gonflée, mes couilles que j'ai rasé pour elle.
"Vous êtes vous masturbé, jeune homme?"
Je ne sais pas quoi dire, lui dit que non. Mais elle serre mes testicules, les tire vers le bas.
"Petit menteur! Je sais que vous vous êtes branlé. Peut être qu'une autre vous a soulagé. Sachez que lorsque je vous donne rendez-vous, votre corps et votre foutre m'appartient!"
J'ai un peu honte, mais surtout peur de ce qui m'attend lorsqu'elle prend le martinet.
"Vous allez subir une punition. Ainsi, vous serez plus obéissant à l'avenir."
Elle vise d'abord le bas du dos. Un coup ferme qui claque et me fait crier. Elle ne craint rien, les murs ont été spécialement isolé, me dit elle entre deux coup.
"Criez encore, suppliez, vous n'y couperez pas, sale petit branleur!"
Ce sont les fesses, les cuisses qui dérouillent. Les lanières atteignent le ventre, mon sexe. Quand un coup précis me lacère les couilles, je hurle carrément. Elle rit aux éclat.
"Si elles étaient bien pleines, cela serait moins douloureux."
Enfin elle s'arrête. A ma grande surprise, je bande toujours fermement. Elle me masse alors la queue, et après la douleur je sens l'excitation me bruler les entrailles.
"Mmh, ce beau corps est à moi. Je vais vous montrer ce qu'est vraiment le plaisir, ensuite vous me donnerez la jouissance que je mérite."
Elle s'active derrière moi. Je n'arrive pas à voir, et hésite à trop faire bouger la chaine. Elle apprécie de me voir sage, puis je sens un liquide parfumé couler sur mon dos, jusqu'à mes fesses rougies, bien plus sensible à cause du fouet.
Elle me masse alors, frictionnant mes muscles, malaxant mes chairs meurtries. Puis c'est au tour du ventre, de mon cou, de mes bras tendus torturés par les fourmillements.
La sensation est nouvelle pour moi, un plaisir qui me fait bouillir les tripes. Lorsqu'elle s'occupe enfin de ma queue enduite d'huile, je suis au bord de l'orgasme, et du présperme se mélange à l'huile.
Elle le sent, et arrête aussitôt. Je dégringole intérieurement, haletant de désir.
"Vous êtes un vrai chien, ma parole. Ce n'est pas ainsi que vous me satisferez. Il va falloir que je vous dresse!"
Elle prend la cravache, s'amuse à me voir frissonner. Elle caresse mon gland, ma tige raide jusqu'à mes couilles. Puis me donne de petits coups précis sur le gland.
Après le plaisir, revoilà la douleur. Mais je la sens différemment, elle résonne loin en moi. Etre ainsi offert me rend fou, je tire sur la chaine, mais l'installation est robuste. Et j'ai beau me tortiller, elle s'applique à viser là où ça fait mal.
Mais elle est si belle, s'amusant à me torturer, agitant ses rondeurs gainées à l'extrême. Je bande encore, et elle s'arrête, me gratifie d'un compliment, griffe mes chairs rougies.
"Voyons voir si la leçon est bien apprise." me dit elle en mordillant le lobe de mon oreille.
Elle s'accroupit, et me suce comme jamais en me branlant doucement. Je sens qu'elle se touche, car son parfum comporte une fragrance nouvelle. Elle m'avale au maximum, alterne avec un savant massage, ses doigts serrés sur ma tige. je me sens venir et je dois le lui dire. Mais combien de temps ça a duré? Je ne sais pas. Elle recommence alors ses coups de cravache, étrangement je les souhaite. J'en redemande mais n'ose pas le lui dire. Je sens le foutre redescendre, mes reins sont brulant et je mourrais si elle ne me laissait pas la baiser.
Enfin, elle me libère. Mes bras retombent lourdement; je ne les sens plus. Elle m'allonge sur le lit, retire son string, s'installe sur moi, se frottant sur mon sexe jusqu'à l'enduire de sa mouille. Elle se frotte le clito, ses ongles meurtrissent encore ma queue, je tressaute sous elle, et ça intensifie son plaisir. Elle jouie si fort que ses cuisses me serre le ventre, ses coups de reins me broie le bassin.

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