Celà remonte déjà a quelques années maintenant, j'avais 17 ans et mon copain Benoît en avait 17 également. Nous étions donc du même âge, en plus d'être les meilleurs copains. Nous faisions quasiment tout ensemble, les sorties, les détentes mais aussi les soirées dont certaines d'entre elles, étaient, disons, euphoriques.

A l'époque j'étais vraiment hétéro, je courais après les filles et Benoît aussi. Il y eu bien un soir ou des Parisiennes étaient venues en vacances, nous les avions rencontré lors d'une journée en ville. Elles étaient 3. Nous passâmes la soirée ensemble ou s'en suivirent des bisous et des caresses, rien de plus pour un premier soir.

Puis elles repartirent quelques jours après, nous plongeant à nouveau dans notre routine quotidienne. Nous avions stoppé les cours et nous avions beaucoup de temps libre. De temps à autre, nous étions occupés à travailler pour une agence d'intérim.

Puis un jour, Benoît passa à la maison et pour occuper notre journée, nous avons joué à la console une grande partie de la journée. Benoît faisait dans les 1m80, brun aux yeux noirs, il était joli garçon et ne laissait pas les filles indifférentes.

Il décida de rester dormir chez moi, je n'avais alors qu'un lit dans la chambre, nous allions donc le partager ensemble comme c'était déjà arrivé ultérieurement. La soirée passa et nous allions nous coucher en boxers, comme d'habitude.

La nuit fit son oeuvre. Tôt le lendemain matin, je ne sais pour quelle raison, ma main frôla son boxer tout en touchant son sexe qui semblait de bonne taille, je l'avais déjà aperçu nu mais l'effet était totalement différent a présent. J'étais à demi éveillé et j'ai pris conscience de mon geste involontaire, je me senti gêné, puis, a mon étonnement le plus total, je sentis une main baladeuse sur mes fesses et qui continua jusqu'à mon sexe.

Les gestes cessèrent, peut être prit-il mon geste comme une invitation ? Quelques minutes passèrent et tant pis, je pris la décision de me retourner et de continuer ce que j'avais commencé. Cette fois ci, les mouvements étaient volontaires, je caressais sa queue a travers son boxer, il avait l'air d'apprécier car son membre se mit à grossir considérablement. Le silence à présent, laissa la place à des respirations et des gémissements, Benoît aimait et moi aussi.

Je passais à la vitesse supérieure, déboutonnant son boxer, je glissais maintenant ma main a l'intérieur de son boxer. Ma vache, q ...

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