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Un ouvrier dans le bâtiment

Publié par : soumissuceafond le 04/05/2023

Le mec est beau, environ 35ans, les cheveux très bruns, courts, viril, le teint mat. Sa chemise largement déboutonnée laisse apparaître un torse recouvert de poils sombres.
Vu le style du mec, j'imagine qu'il doit être Maghrébin.
Il travaille sur un bâtiment en construction juste en face et tout proche de chez moi.
J'ai déjà vu à maintes reprises ce bel homme perché sur les échafaudages. Il me plait beaucoup !
Et hier il a vu que je le regardais.
Plusieurs fois j'ai noté qu'il me jetait des regards furtifs.
Je me suis alors mis à rêver que je pourrais peut-être l'intéresser.
Jusqu'au moment de m'endormir, il a occupé mes pensées.
Et il y a quelques temps, alors qu'à nouveau je le regardais déambuler au milieu des barres de métal de l'échafaudage, il a croisé mon regard et a osé me saluer. Un salut discret pour ne pas se faire repérer par ses collègues.
Un salut discret mais accompagné d'un sourire.
Un sourire ravageur !
Mon dieu qu'il me plaît.
Je commence à bouillir...
Je lui rend son sourire en me préservant du regard des autres ouvriers qui travaillent avec lui.
Le contact est pris !
Rapidement, il entre à l'intérieur d'une pièce pour s'isoler et, faisant mine d'arranger sa chemise dans son pantalon, il ouvre sa braguette et me montre son slip blanc éclatant qu'il caresse et soupèse pendant quelques secondes en me regardant.
Je suis d'un naturel timide mais je ne veux pas louper cette occasion et fais devant ma bouche au moyen de ma main refermée le geste de la fellation.
Comment ai-je osé ?
Et s'il était réellement en train d'arranger sa chemise ?
Mais non ! Il me fait le signe qu'il voudrait me téléphoner.
D'un geste je lui indique de patienter et je m'empresse d'écrire au gros feutre noir mon numéro sur une feuille de papier que je viens plaquer contre la vitre en continuant de me méfier de n'être vu que par lui.
Il note.
Il va m'appeler. Mais quand ?
Une heure plus tard mon téléphone sonne. C'est lui ! Mon cœur bat la chamade et mes tempes s'affolent.
Il parle très mal le français et j'ai du mal à tout comprendre mais l'essentiel est dit, et compris !
Il veut mon code d'immeuble et mon étage. Moi qui suis d'ordinaire d'un naturel si méfiant, je les lui communique aussitôt. J'avais eu le temps d'y réfléchir avant son appel.
A 11h du matin il sera là.
Et à l'heure dite, il sonne à l'interphone. Je lui ouvre. J'entends s'ouvrir la porte de l’ascenseur à mon étage. J'ouvre ma porte.
Je le fais entrer immédiatement et passons directement dans chambre.
Il est beau, trop beau, viril avec de magnifiques yeux verts ourlés de cils noirs qui éclairent son visage buriné par le soleil et peut-être aussi par ses origines.
Il parle effectivement très mal le français mais il sait pourquoi il est venu et, sans aucune pudeur, il fait glisser son pantalon sur ses cuisses, abaisse son slip.
Je m'agenouille et sans attendre commence à lui les lécher les couilles et à passer ma langue sur son sexe encore flaccide, épais, circoncis, très brun, cerné de poils noirs, courts et brillants.
Mais très vite il durcit et s'épaissit. Sa queue est une merveille.
Large, épaisse, dure et veineuse, elle entame des vas et viens dans ma bouche et, déjà, je sens le goût un peu acre de ses sécrétions. A cet instant, je me demande où il va jouir ?
Mais il passe sa main derrière ma tête pour s'insérer plus profondément.
Il me baise la bouche tranquillement, semblant vouloir profiter de la caresse de mes lèvres humides sur la couronne proéminente de son gland qui suinte.
Profiter de ma langue, de mes joues, de ma gorge qu'il vient fouiller sans souci de la sensati ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Maghrebin(s), Au travail