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une adresse à ne pas oublier

Publié par : sexopen le 16/07/2024

J’ai choisi de dévoiler quelques épisodes de ma vie cachée, parce qu’il est plus facile de le faire derrière son ordinateur plutôt qu’à visage découvert. Certes, j’aurai pu écrire des histoires imaginaires saupoudrées de petites scènes totalement obscènes sorties tout droit de mes phantasmes les plus pervers. Mais ma vie secrète d’homo, est tellement riche en souvenirs inavouables, qu’il est inutile de me lancer dans des histoires inventées de toutes pièces. Mes rencontres sexuelles au hasard de ma vie sont, pour certaines, bien plus impudiques.
A quelques centaines de mètres de mon domicile réside mon ami d’enfance, nous sommes tous les deux mariés, je suis le parrain de son fils et lui le parrain d’une de mes filles, de plus depuis plus de vingt ans nous travaillons dans la même société. Régulièrement nous nous invitons à manger et nos épouses sont les meilleures amies du monde. Au-delà de cette amitié sincère, un petit secret nous lie depuis 40 ans, bien avant nos mariages respectifs. Un soir de beuverie ou nous étions très éméchés, en sortant de boite, on a été pissé sur le mur d’en face, et en titubant il me dit « putain t’en as une grosse, toi, je ne voudrais pas la prendre dans le cul, je peux la toucher ? » Alors que j’étais toujours en train d’uriner il s’est agenouillé et m’a sucé longuement et maladroitement, mais j’ai adoré. « A toi de me sucer, faut qu’on soit à égalité » A mon tour de m’agenouiller et d’aspirer sa bite encore humide de pisse, par contre, chose inattendue, il se mit à éjaculer et j’ai tout avalé. « Ho putain on vient de se sucer la bite, on est des pédés » me dit ‘il en rigolant.
Le lendemain les vapeurs d’alcool s’étant dissipés, les souvenirs me reviennent, je m’étais endormi tout habillé mon pantalon puait la pisse. C’est le téléphone qui m’extirpa de mes souvenirs, c’était mon pote, « salut petite pédale » me dit-il en rigolant, « je vais t’avouer un secret, j’ai adoré te sucer, je passe te voir dans 10 mn ».
Il a les clés de mon studio, et lorsqu’il entre, tout sourire, il tient sa bite à la main, « c’est qui, qui va prendre son ptit-déj ? Je ne fais aucun effort pour refuser la proposition, « ok je te suce mais toi aussi, et cette fois toi aussi tu vas gouter a mon sperme » il se tord de rire, « vas y envoie la purée » et effectivement on a envoyé la purée tous les deux.
Aujourd’hui nous avons tous les deux la soixantaine, une fois par mois, on trouve une excuse pour se retrouver seuls, nos femmes sont ravis de notre amitié et pendant qu’ont s’éclipsent soit dans mon garage ou a la cave elles peuvent papoter tranquillement, sans imaginer une seconde que depuis toutes ces années on a mis en place des petits jeux de plus en plus chaud,.
« Je suis convoqué au siège lundi, le patron veut me voir, tu viens avec moi ?? je t’emmènerais au sauna sur les grands boulevards, c’est rempli de pédés on va pouvoir s’en enfiler quelques uns. » L’idée me tente bien, on verra bien sur place me suis-je dis. J’ai prévenu mon épouse que j’accompagnais mon pote chez le boss, et le lundi après avoir réglé l’état de ses commandes avec le patron nous voilà à 14 h devant l’entrée du sauna. Effectivement ca grouille de monde, la plupart ont une mini serviette autour de la taille, mais les autres sont entièrement nus. « Allez, allons voir ca de plus près, nous avons décidé de mettre la serviette autour du cou, et se balader la bite à l’air, c’est le paradis des pédés, tout est permis, nous entrons dans une pièce complètement noire, aucune lumière, il faut avancer à l’aveuglette, cette salle est blindée de monde, on entend des gémissements et on devine des sodos un peu partout. Le but est de se frayer un chemin en se frottant un maximum, je trouve l’idée trop sympa, je me fais doigter et je finis par être bloqué par un type que je ne voies pas qui est a genoux et qui vient de me happer la bite, en me suçant goulument. Je ne m’attarde pas je me retire de cette bouche pour, immédiatement buter sur le cul bien ouvert d’un homme, attendant de se faire prendre. Près de 2 ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Branle, Fellation