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une aire d'autoroute (1)

Publié par : latuwu le 25/02/2022


Un lundi matin, il n'y a pas très longtemps, je devais me déplacer sur Paris pour le travail, je pris donc la route de bonne heure afin d'éviter les bouchons habituels en arrivant sur Paris.

A peine sur l'autoroute, une forte envie d'uriner me prend. Je m'arrête donc rapidement sur la première aire d'autoroute, et d'un pas rapide, me dirige vers les urinoirs. Occupé à vider ma vessie, je mis quelques instants à remarquer que quelqu'un s'était placé à ma droite.

J’ai rapidement remarqué les mouvements saccadés de son bras, feignant de ne rien remarquer, je jetai un coup d'œil sur son urinoir, je vis alors qu'il se masturbait sans vergogne, en regardant mon sexe terminant de se vider.

Le rouge me monta rapidement aux joux, intrigué par ce manque de pudeur et fasciné par ce sexe qui était d'une taille plus que raisonnable, et surtout, très épaisse, il avait du mal à fermer sa main autour de sa verge.

Mon sexe commença à réagir malgré moi, je sentais le sang affluer, et sa taille changée. Malgré moi, cette situation m'excitait énormément. Avant même que je puisse réagir, il prit m'a bite en main, sans douceur, et commença à me masturber. Je sentis un désir énorme de prendre ce sexe également, mais gourmand comme je suis, ce n'était avec ma main que je voulais qu’il jouisse, mais dans ma bouche et voir si elle pouvait rentrer malgré son épaisseur !

Je me mis à genoux, après un instant de surprise de la part de cet inconnu, il eut un sourire signifiant "vas-y, suce", du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti car il ne parlait pas français, une langue de l'Est je pense. Pendant que je commençais à lécher ce gland énorme, il vociféra des mots que je ne comprenais pas, et un long râle accompagna ma prise en bouche de cette verge qui ne demandait que ça.

Je ne pouvais pas la prendre entièrement en bouche, trop large, mais je m'affaira sans retenue sur tout ce qui pouvait pénétrer ma bouche, et branlait le reste tout en caressant ses couilles glabre, un vrai délice ! tout mon corps tremblait, j'avais l'impression de mouiller du cul et je voulais son jus dans la bouche.

Etant donné la spontanéité de cette situation, nous n'avions même pas pris soin de se mettre à l'abris de regards indiscrets, dans une des cabines. Une voiture vient se garer juste devant les sanitaires. Nous reprîmes nos esprits, boutonnant nos pantalons, nous quittâmes ce lieux de plaisir. Rapidement, je montai dans ma voiture, mais impossible de prendre le volant, je tremblais trop et ma bite commença à me faire mal tellement elle était gonflée.

Reprenant mes esprits, content de ce moment, mais frustré de ne pas avoir eu son jus. Les yeux fermés, je revivais ce moment insolite. Quand on toqua à ma vitre, un sursaut, et je reconnus tout de suite mon assaillant des toilettes !

Le désir remontait déjà en moi, mélange d'envie et de remords, sucer comme ça, un inconnu sur une aire d'autoroute. Dans un anglais très peu maîtrisé, il me montra son camion, garé un peu plus loin, je compris par ces gestes qu'il voulait continuer. Après une courte hésitation (un inconnu, mon rdv à Paris, etc.), mon corps, comme une entité indépendante de ma raison, sortit de la voiture, j'avais l'impression d'être dans une demi-conscience, agissant plus par instinct que par raison.

Je suivais cet homme inconnu à travers le parking, je savais que nous rejoignions son camion, pour quelle suite ? Finir la fellation, me prendre. Ne pas savoir m'excitait encore plus, mon sexe était gorgé de sang, ce doute, aussi troublant qu'il soit, il était férocement délicieux. Il me dit quelque chose que je ne compris absolument pas, et d'un autre côté, je m'en foutais complètement, tout à l'écoute de mon corps, je ne pouvais résister, ni penser.

Quand il ouvrit la porte de la cabine, il me montra l'arrière, la partie couchette, je compris tout de suite comment ça allait finir !La partie couchage était fermée par un simple rideau, je suis monté en premier, et j'ai ouvert d'un geste décidé cette barrière vers l'assouvissement de mon désir. Quelle ne fût pas ma surprise en découvrant le corps gisant d'un homme, à peine recouvert, il dormait.

D’un petit geste et une parole dans cette langue que je ne comprenais pas, l'homme se réveilla, après s'être étiré, il me dévisagea, me jaugea, et un rictus apparut sur son visage. Je voyais ce corps nu, avec une demi-gaule, dont la taille était moins impressionnante que celle de mon inconnu des toilettes, moins large, mais plus longue.

Mon cœur battait la chamade, qu'est ce qui allait se passer, que faire, mon corps refusa obstinément de bouger, de partir.
Sans aucun ménagement, mon inconnu numéro 1 appuya sur ma tête pour amener ma bouche au niveau du sexe de l’homme allongé, sans même réfléchir, je pris en bouche cette bite encore un peu flasque, et sous mes coups de langue, elle devint raide et dur. Derrière moi, l’homme s’affairait à jouer avec mon anus, je sentais deux doigts fouillant en moi, avec un va et viens hypnotique.

D’un mouvement irréel, je me retrouvais sur le dos, l’homme couché finit de retirer mon pantalon et vint se plaquer contre moi, je senti alors son sexe pénétrer sans aucune résistance dans mon cul, jusqu’à la garde, d’un seul coup. Mon cul était trempé et il pouvait aller et venir en moi sans douleur et pour mon plus grand plaisir. L’homme des toilettes tenait mes jambes au niveau de ma tête, pour faciliter les coups de boutoir de son collègue et avait mis son sexe énorme dans ma bouche. J’étais aux anges, quel plaisir ! Je sentis les soubresauts du bassin de l’homme en moi et je compris rapidement qu’il venait d’éjaculer en moi. Il ne resta pas, et je me sentis vide, le cul béant encore assoiffé. Il se leva de la couchette, s’habilla et sortit du camion, déçu je le regardais sortir, ayant toujours la belle bite dans ma bouche, il continuait de limer ma gorge, sans douceur, sans précaution envers moi, j’aimais ça, être une chose, un objet de plaisir.

Le second revint dans le camion, il a dû aller uriner ou se laver la bite. La bite de mon inconnu toujours en bouche, et toujours aussi raide, le second commença à me ma ...

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