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une aire d'autoroute (2)

Publié par : latuwu le 25/02/2022

Je me réveille difficilement, de ma main droite je cherche l’interrupteur de ma lampe de chevet, et pour seule réponse, une matière froide rencontre mes doigts, étonné, j’ouvre les yeux et ne reconnais pas l’endroit. Il me fallut quelques secondes pour me rendre compte où j’étais, la douleur de mon cul me confirma aussitôt que je n’avais pas rêvé. Partit pour Paris, arrêt sur l’air d’autoroute et cette rencontre… tout était bien réel, doucement je glissais mes doigts sur mon trou du cul, il était boursouflé mais toujours pas fermé. Quelle heure était-il ? qu’est-ce que je faisais encore sur cette couchette de camion, seul…
Retrouvant mon portable, il était 14h20, j’étais là depuis 7h15 le matin environ, pourtant personne ne m’avait retenu, ni obligé… Perdu que ne savais quoi faire, partir ?
D’un seul coup, j’entendis rigoler et parler à l’extérieur de la cabine, sans comprendre leurs paroles, je reconnus les voix de mes deux assaillants. Ils étaient à côté, se marrant certainement de ce qu’ils venaient de me faire. Moi-même, j’étais surpris de la docilité dont j’avais fait preuve, même si je préfère de loin être passif, je ne pensais pas pouvoir me laisser aller ainsi avec de totales inconnus.
La double pénétration me revint à l’esprit, c’était ma première, autant on m’avait déjà fisté, et mes godes étant énormes, la dilatation n’était pas plus grande, mais cette chaire chaude et mouvante en moi, me laissait un souvenir mémorable.
Je ne pus empêcher mon sexe de regonfler, une fois l’érection établie, je commençais à me caresser, oubliant ou j’étais, je m’en foutais littéralement. Concentré sur ma queue et ses soubresauts, je n’entendais ni ne voyais d’autre que la douceur de ma main sur mon sexe.

D’un geste brusque, je mis fin à mes caresses solitaire, la porte droite de la cabine venait de s’ouvrir, je feins de dormir encore, pour ne pas montrer aux deux hommes que j’étais encore plein de désir.
De part sa carrure, je compris que c’était numéro 2 qui venait de se coller contre mon dos, son sexe ne mit pas longtemps pour être en érection, il faisait des allez retour entre mes fesses, sans chercher à me pénétrer, je feignais encore le sommeil, profitant de ces attouchements même s’ils étaient douloureux aux abords de ma rondelle. Quelques instants plus tard, il cracha sa sauce dans mon entre jambe, sans même se retenir, il se mit rapidement, nu, sur le fauteuil passager de la cabine, sans pudeur aucune, il trônait là, impassible, se caressant le corps comme pour le récompenser.

Toujours dans ce faux sommeil, j’entendis la porte conducteur s’ouvrir, mon assaillant des toilettes venait de monter dans la cabine, ils échangèrent quelques mots, et un rire puissant, les homme se marraient d’avoir une lope à l’arrière ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Sodomie, Européen(s), Au travail, A plusieurs