me titillait l'anus waouh quel pied je prenais, c'était l'extase totale. Puis j'entendis des propos incroyable venant de Mireille en dessous "pousse comme si tu voulais chier, pousse, pousse que j'te bouffe ta rondelle !" J'étais tellement excité que j'avais envie de faire bisquer encore plus Mireille, je n'en pouvais plus jusqu'au moment ou j'ai trouvé un petit stratagème, j'ai retiré ma bite de la chatte baveuse de Françoise et tout en me branlant je m'adressais à Mireille. "tu la veux ma bite hein salope, tu la veux hein, t'as envie d'y mettre un coup de langue hein sale pute". Je faisais passer mon gland baveux à quelques millimètres de sa bouche, une petite goutte de bave tomba sur ses lèvres et je vis sa langue sortir, c'est à ce moment là précis que je remis illico ma grosse bite dans la chatte de Françoise et cette dernière toute excitée ajouta "Vas y prend moi à la sauvage comme ce matin vas y bourre moi en me traitant comme un pute" Sans attendre j'ai bien saisi les hanches de Françoise et je l'ai besogné comme ce matin, son corps bougeait dans tous les sens sous mes coups de bourre, comme ce matin ça claquait fort et encore une fois le voisin tapait au mur nous demandant de faire moins de bruit, waouh cette situation m'excitait encore plus et la différence avec ce matin est que je suintais du cul, le mouillais vraiment et y avait la copine qui récupérait le jus en dessous et elle ajouta "Oh ça claque c'est dingue, qu'est ce que tu te prends françoise, je ne savais pas que tu pouvais t'en prendre autant dans la chatte, il ne te fais pas l'amour là, il te baise comme une pute !"
N'y tenant plus je retirais ma bite de la chatte de françoise et comme tout à l'heure je m'adressais à Mireille. "regarde la bien cette bite connasse car tu ne l'auras jamais dans ta chatte, elle est faite pour la chatte de ta copine, jamais une autre chatte ne m'a mouillé sur la bite comme ça, nous sommes fait l'un pour l'autre, par contre......" ne finissant pas ma phrase je lui enfournais ma grosse bite au fond de la gorge et m'adressant maintenant à Françoise je lui dit "regarde la ta copine, je vais l'étouffer regarde là, je vais lui enfonce jusqu'aux couilles !" A califourchon au dessus de Mireille, je lui limais la bouche. ma bite coulissait dans sa bouche et la jeune femme gémissait comme quelqu'un qui a la bouche pleine,. François s'installa sur le fauteuil en face du lit et avec un énorme gode elle se branlait la chatte en me regardant piner la bouche de Mireille. "regarde mon laurent, ce gode c'est ta bite, ce gode c'est ta bite, ce gode c'est ta bite, ce gode c'est ta bite !" "Non elle est là ma bite, elle est là" et je la retirais de la jolie bouche pour la monter à Françoise "elle est là regarde". Mon érection était puissante, ma verge énormément gonflée, des grosse veines apparaissaient et un petit filet de baveux apparaissaient lui aussi de mon gland. Mais la jolie Mireille ne se dégonfla pas, elle avança la bouche pour reprendre ma bite, sa bouche se déforma autour de mon énorme pieux et l'engloutit jusqu'aux couilles, c'était divin de la voir avancer ainsi la bouche pour attraper ma bite, il faut sacrément aimer la bite pour en vouloir comme ça. Encore une fois je m'adressais à Françoise en la regardant se goder la chatte "regarde la ta copine, regarde la, regarde la, regarde la, regarde la, elle avance la bouche pour me gober la bite, regarde la, elle en veux la chienne, elle la veux t'as vu, t'as vu ?" "ouai j'la vois putain, elle en veut c'est vrai, laisse la te bouffer la bite, j'aimerai la voir se faire humilier quand tu vas tout lui cracher sur la gueule !" et la jolie Mireille la bouche tendue vers ma bite se formatait la bouche autour de mon énorme bite avec des bruits de bouche intenable d'excitation, ma bite dégoulinait de jus, de tous les jus, celui de ma bite et sûrement aussi la salive de Mireille, mon odeur était forte en effet et je la sentais moi-même. l'odeur envahit toute la pièce tellement j'étais excité et surtout parce que je ne m'étais pas lavé la bite depuis deux jours. François le gros gode au fond de la chatte me le fit remarquer "oooh Laurent ton odeur, ton odeur, ton odeur hum, tu sens le mec j'adore" Elle me tendit le gode et dit "regarde le ce gode biquet, j'ai bien mouillée dessus, j'ai bien donné tout mon jus, suce le, suce le !" "hein, tu veux que je le suce ?" "oui mamours c'est mon odeur, tu l'aimes mon odeur hein ? tu l'aimes hein ? Suce le"

Alors en regardant Françoise droit dans les yeux j'ai sucé le gode poisseux pendant que la Mireille me régalait la bite de sa bouche gourmande. Pour emmerder françoise elle ajouta "hum moi je préfère la bite au gode, je préfère la bite au gode, moi je préfère la bite au gode humm humm". Francoise vint s'ageno ...

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