Depuis quelques semaines, j’ai décidé de me remettre au sport. Retraite oblige et fin de pandémie aussi. Et me voilà deux fois par semaine au bord d’un étang ou j’aime me rendre et lieu incontournable de rencontres à proximité de Rambouillet.
Pour une fois j’y étais allé l’après midi en voiture en revenant de faire une course.
Sur un parking un peu en retrait du parking habituel. Une fourgonnette de société dont le conducteur restait au volant.
Je me gare à côté de lui de son côté de façon à ce qu’il puisse avoir une une plongeante sur mes jambes et commence à le caresse le sexe au travers du pantalon.
Je voyais son bras qui s’agitait également.
Nous nous observons mutuellement. Nul doute qu’il cherche comme moi à passer un moment agréable.
Je sors, je contourne ma voiture par l’arrière et me rapproche de sa portière. San hésiter, il entrouvre celle-ci. Sa braguette est ouverte montrant un sexe qui commence à durcir.
Je lui montre le mien qui ne demande pas mieux. Il me demande si je veux monter à l’arrière du fourgon.
Est ce prudent? Mais son sexe m’attire et Il est bel homme, un peu moins que la cinquantaine, bonze ou plutôt hâlé.
Je le decide de le suivre.
C’est un fourgon d’arrisan relativement bien rangé avec une mousse grand format que j’imagine servir parfois de lit de fortune. Ça me rendrait presque jalouses de ceux qui ont sans doute dû s’y allonger. mais nous restons débout.
Il ôte son t-shirt et je fais de même.
Nous frottons nos poitrines l’une contre l’autre.
Il est comme moi presque imberbe, à la peau douce. Ma bouche parcourt son torse et commence à s’attarder sur ses tétons qui durcissent. J’adore sucer et mordiller les tétons. tandis que mes mains lui baissent son short et commencent à lui caresser le sexe qui est maintenant bien rigide et ses bourses qui ne demandent qu’à se vider. Ça, je le saurai plus tard. Je baisse le mien. ...

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