Cela faisait quelque temps que je cherchais à expérimenter de nouvelles sensations... sucer une queue... prendre à pleine bouche un gland gorgé de sang... désormais je touchais au but. Ma voiture garée, le palpitant à 200, je me refusais de reculer.
Il était midi et le soleil était au rendez-vous en cette fin d'été. Seraient-ils présents ?
Alors que j'approchais de la plage ayant contourné les dunes, mon excitation était de plus en plus grande. Arrivé en haut de cette barrière de sable et de végétation basse il était temps de retirer mes vêtements. Quel bonheur de sentir les rayons du soleil caresser ma peau... Immédiatement mon sexe se redressa...
A présent j’apercevais l'océan, et au contrebas quelques serviettes... peu... Une fois en bas, sur le sable je me plaisais à imaginer les regards sur moi. Est ce qu'une femme, un couple, un homme oserait s'approcher, m'inviter à le rejoindre derrière un de ces muret de pierre délicatement disposé en arc de cercle...
A une dizaine de mètre de moi je le vis tout de suite et nos regard se croisèrent tout d'abord subrepticement puis de façon plus insistante. Il avait le corps doré, des cheveux brun mi long. Sur le dos accoudé sur sa serviette il se mit rapidement à caresser son sexe qui ne manqua pas de se tendre. De mon côté j'étais fasciné, était ce moi qui provoquait son excitation... La réponse ne tarda pas. Je le vis se redresser prendre sa serviette et remonter vers le haut de la dune.
Il n'y avait aucun doute il m'attendrai dans les dunes.
Je lui emboîtais le pas et à peine avais-je atteint le sommet que je le vis étendu se masturbant. Je regardais discrètement, avais-je seulement le droit de l'observer... mais à nouveau nos regards se croisèrent... Je ne vis rien qui ressemble à une désapprobation. De mon côté je trouvais en moi une force incroyable, pas la moindre timidité... il faut dire cette queue luisante tendue... m'attirait tellement... je la voulais chaude dans ma bouche... rien ne m’arrêterait. Je lui demandais ce qu'il cherchait. Et lui de me répondre : être regardé.
Je m'approchais lentement fixant son gland magnifique.
Puis-je te caresser... te sucer... lui murmurais-je en approchant mon visage de son sexe. Son silence était une délivrance. Ma langue glissa alors lentement de la base de sa queue jusqu'en haut de son gland. Elle était si chaude... deux trois fois je remontait ainsi ...

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