Cher lecteur, j'ai publié il y a quelques semaines déjà, ma rencontre avec un gars romantique dans « Coup de foudre surprenant ». La douceur, la gentillesse et l'attachement que nous avons développé l'un pour l'autre s'est traduit par de nombreux moments ensemble. L'un d'eux, le plus surprenant, s'est déroulé au cours d'une randonnée. Voici le descriptif de ce moment plutôt romantique et imprévu.

Il fait doux en cette fin de printemps. Je reçois un message de mon amant le plus régulier pour me demander si nous pourrions envisager une petite randonnée avec café et goûter qu'il préparera bien sûr. Je reconnais là son attachement à tout organiser pour faire plaisir et avoir du plaisir...

Nous nous retrouvons donc en ce début d'après-midi sur le parking d'un sentier dans la campagne et les bois. Sac à dos et tenue de randonnée, nous voilà partis pour découvrir une ballade balisée par le Conseil départemental. Elle débute sous les frondaisons d'un chemin elfique et longe des pièces d'eau. Au bout d'une heure environ, mon compagnon manifeste l'envie de faire « le goûter ». Le chemin que nous abordons s'enfonce au milieu de prairies de moutons et j'aperçois une bâtisse aux allures d'abandon à proximité du circuit. Ce sera le lieu de notre goûter. Il faut dégager l'entrée et nous nous retrouvons dans une bergerie abandonnée, avec une palette de bois dans son enceinte. Je déplace la palette mode « table » et nous étendons une couverture en polaire pour déposer tasses en plastique, gâteaux et thermos de café. Nous profitons donc de notre petit en-cas. Une fois terminée, nous commençons à nous rapprocher pour des baisers et des caresses. Ah, le désir monte rapidement mais le lieu est-il approprié ?

Nous nous levons et poursuivons nos baisers et nos caresses. Mon sweet-shirt ne tarde pas à tomber, mon jogging à descendre le long de mes cuisses et mon amant vient me taquiner l'entrejambe toujours avec douceur et technicité efficaces sur le plan de l'excitation.

Il me gratifie d'une fellation douce et sensuelle. Sa bouche charnue, sa barbe blonde de jours me titillent les sens. Je soupire de plaisir ; j'aime ses grandes mains blanches sur mes fesses, sur mes cuisses, ses longs doigts qui me caressent les bourses, je ne m'en lasse pas contrairement à d'autres partenaires moins chers à mon cœur et à mon corps.

Il se serait bien contenté de me faire jouir dans sa bouche. Il a toujours ce désir à la limite du fantasme, pourtant assouvi, de me faire épancher dans sa bouche. Le lieu est insolite mais c'est terriblement excitant, la crainte d'être surpris par un paysan, les souffles du vent qui s'infiltrent dans la bergerie, on croirait un roman champêtre et érotique.

Je relève mon grand amant blond, ses yeux clairs pétillent, sa bouche charnue est là pour recevoir mes baisers goulus. Je relève son sweet-shirt pour lui titiller les têtons, c'est son pêcher mignon et je sais qu'après ces préliminaires, on peut tout faire avec lui tant le désir est crescendo. Je descends ensuite et alternativement vers son gros membre. Je t'ai déjà précisé que ce grand gaillard a été solidement pourvu par Dame nature et qu'il m'est toujours un peu difficile d'engloutir la totalité de sa verge en raison de son gabarit, que ce soit en longueur ou en grosseur. Par contre, elle est terriblement attirante, toujours très propre, rose avec une petite tache plus sombre sur le gland, facile à décalotter et ornée d'un pubis blond. Ses testicules sont en revanche et surprenamment petites eu égard aux dimensions du pénis. Mais, plus habitué désormais, je ne me prive pas de succions qui lui arrachent des soupirs saccadés et font pétiller ses yeux clairs.

La tentation est grande pour moi d'aller plus loin dans nos ébats et je sais qu'il aime les situations un peu insolites. C'est d'ailleurs cette liberté qu'il aime beaucoup en moi et mon appétit sexuel. Il est fesses nues dans la bergerie. Je le retourne doucement et il comprend tout de suite mon envie. Très coopératif, il s'appuie à un poteau de bois et se laisse manipuler par mes soins. Mon sexe est dressé, humide de sa salive et vient se positionner entre ses jolies fesses bien rebondies qui me font toujours craquer. Je m'avance doucement, sur la pointe des pieds car notre différence de taille est d'au moins dix centimètres. Qu'importe, je gère parfaitement cette différence et il plie un peu les jambes afin que son postérieur sexy soit à ma hauteur. Je pose mon gland sur son intimité et la chaleur m'indique que je suis bien au seuil de l'entrée dans son corps. J'avance doucement avec une pression mesurée et je glisse dans son corps, son râle illustrant l ...

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