Faisant mes courses hebdomadaires, j’étais au rayon parfum quand en me retournant j’avisais une petite brune en train de choisir un déodorant.

Cheveux mi long frisés, vêtue d’un petit chemisier blancs à rayures bleues qui couvrait de petits seins et d’une jupe mi-longue bleue qui laissait apparaître ses genoux ainsi qu’un début de cuisses.
Un rouge a lèvres discret dessinait une bouche souriante.
De longs cils agrandissaient ses yeux, et son fond de teint lui donnait un air halé.
Son menton légèrement carré dénotait dans son visage.
Elle n’était pas vraiment jolie mais un charme émanait de toute sa personne.

Elle fit tomber un déodorant du rayon qui roula vers moi. Je le ramassais et lui tendis.
Nos yeux se croisèrent et nous nous fîmes un sourire. Elle me remercia et remit le déodorant à sa place.
De nature timide, je n’osais pas engager la conversation et continuais mes achats.

Arrivé aux caisses je vidais mon caddy sur le tapis et posais un séparateur derrière mes achats.
Ce faisant je me retournais et je vis que c’était elle la cliente suivante.
Nous nous sourîmes de nouveau mais la caissière commença à passer mes articles et je ne pus lui dire un mot.
Tout en remplissant mon chariot, j’échangeais des regards furtifs avec elle.
Je payais et faisant mine de vérifier mon ticket, je restais à proximité, décidé ce coup ci a oser l’aborder.

Et lorsque à son tour elle quitta la caisse, je m’approchais d’elle et lui dit qu’apparemment nous étions devenus inséparables dans ce supermarché.
Elle sourit et m’avoua qu’elle avait espéré que je l’attende.
Je lui proposais d’aller prendre un café chez moi et sans hésiter elle me dit oui.

Arrivés chez moi, je lui dis de s’installer dans le canapé pendant que je préparais le café.
Assise, sa jupe s’était légèrement remontée, dévoilant un peu plus ses cuisses.
Je déposais le plateau sur lequel j’avais déposé 2 tasses et quelques petits gâteaux.
Notre conversation démarra sur des sujets anodins.
Elle s’appelait Valérie et était récemment arrivée dans notre ville pour son travail.

Mais nous savions tous les deux que ce qui comptait vraiment c’était le désir que nous avions l’un de l’autre.
Et je fis le premier pas en posant une main sur sa cuisse.
Elle réagit en se tournant vers moi et en approchant son visage du mien.
Ce fut alors un premier baiser timide durant lequel nos lèvres ne firent que s’effleurer.
Puis le désir augmentant, notre baiser fut plus appuyé.
Nos bouches se dévoraient avec force, nos langues se caressaient, nos salives se mêlaient.

Mais soudain elle se dégagea et je crus qu’elle ne voulait pas aller plus loin.
Mais elle me dit qu’elle avait quelque chose à avouer.
Elle me prit la main et la dirigea vers son entrecuisse.
Quelle ne fut pas ma surprise en sentant un sexe qui avait durci sous le coup de l’excitation.
Je retirais ma main par pur réflexe, n’ayant jamais touché un autre sexe que le mien.
Me regardant d’un air désolé, Valérie me dit qu’elle comprendrait si je ne voulais plus d’elle.

Après avoir hésité un cours moment je compris qu’a la manière donc elle parlait d’elle, elle se sentait totalement femme.
Mon hésitation fut de brève durée, car mon désir d’elle était plus grand que ma crainte de la considérer comme un homme.
Et pour lui prouver, je me penchais vers elle et repris notre baiser.
Je sentis son bonheur à la manière dont elle me serra très fort.
Nous nous embrassâmes encore un long moment, nous caressant le visage avec tendresse.

Puis je la pris par la main et la conduisis dans ma chambre.
Lentement je déboutonnais son chemisier sous lequel elle n’avait pas de soutien gorge.
Sa poitrine était toute menue, presque absente, mais ses tétons sous le coup de l’excitation étaient très saillants.
Je ne pus résister a les caresser, à les embrasser, à les aspirer tout en faisant glisser ma langue sur leurs bouts.
Valérie gémit sous cette caresse et je sentis son bassin s’avancer.

Après lui avoir retiré son chemisier je m’attaquais à sa jupe
Sa fermeture éclair ne résista pas longtemps et Valérie la fit glisser le long de ses jambes et d’un coup de pied l’envoya un peu plus loin.
Sa petite culotte rouge bordée de dentelle, avait du mal a dissimuler son petit sexe.
Mais cela ne me choquait plus, car elle était vraiment femme avec une taille fine, un ventre plat et des hanches certes étroites mais arrondies.
Sa peau était magnifique, lisse et légèrement dorée

Sentant encore mon reste de gène, c’est elle qui après s’être retournée, enleva sa culotte, me dévoilant ainsi une paire de fesses rebondies.
Je sentis qu’elle hésitait à se retourner et c’est moi qui lui demandais.
Je découvris alors son sexe. Il était tout petit, ...

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