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vidange en vendanges

Publié par : calinouplus le 20/05/2023

Fin d'été dernier, dans le cadre d'une travail sur les travailleurs saisonniers étrangers , j'obtins l'autorisation de faire mon enquête dans l'Hérault, département relativement vinicole. Je fus donc invité à rejoindre une exploitation où allaient commencer les vendanges. La propriétaire des lieux me conseilla, afin d'être au plus proche des ouvriers saisonniers de travailler avec eux. J'avais déjà vendangé quand j'étais plus jeune, et cela ne me dérangea pas.
La veille du jour J, on me présenta à une équipe de douze saisonniers. Là, j'appris qu'ils venaient essentiellement d'Europe centrale.
le lendemain matin, réveil à 6h afin d'être opérationnel dès 7h. Il faisait encore un peu frais, mais je savais qu'en milieu de journée, la chaleur deviendrait insupportable.
Et c'est ainsi que commença cette journée, physiquement difficile mais plutôt riche.
Très vite, armé de mon épinette ou sécateur, c'est parti pour ceuillir ces magnifiques grappes de raisin. Moi d'un coté du rang, un homme de l'autre. On commence à parler un peu, mais il fut vite bloqué par la notre langue qu'il maîtrisait très mal. Ceci étant, sympathique garçon, d'une quarantaine d'année, cheveux épais très noirs et plutôt baraqué. Nos regards se croisent de temps en temps, son regard gris vert est superbe et il me sourit de temps en temps.
Au bout de 2h, il me fait comprendre qu'il fait une pause afin d'aller se soulager. il revient en se reboutonnant la braguette qu'il a, j'avoue ne pas y avoir prêté attention auparavant, plutôt bien gonflée. Mmmmhhhh, cela me donne quelques envies, mais je dois resté discret surtout, mon enquête prendrait une drôle de tournure.
Milieu de matinée, la chaleur commence à se faire sentir, et me voici entouré de gaillards qui retirent leur maillot et se retrouvent ainsi torse nu. Quel joli spectacle de voir ses torses robustes, imberbes pour les uns, recouverts d'une toison pour les autres.Mon coéquipier est tout poilu, surtout sur le torse. Une ligne de poils se dirige vers le bas de son ventre afin de disparaître dans son boxer. Ce boxer qui dépassent allègrement de son pantalon, et j'avoue que de temps en temps, je n'hésite pas à le regarder surtout quand il est baissé pour couper les grappes inférieures. J'aperçois même le haut de sa raie recouvert de poils bien noirs.
Pause du midi, et je reprends mon activité en allant voir d'autres saisonniers afin de parler avec eux.
Il en ressort, et ce n'est pas un secret, que ces hommes quittent femme et enfants pour toute la saison de cueillette, allant des cerises jusqu'au pommes fin septembre.
Fin de journée. on est harassé, mon dos est en compote.
Mon coéquipier du matin s'approche de moi et me désigne, d'un regard, les douches. J'acquiesse bien évidemment, je file vers ma chambre, à l'écart des dortoirs récupérer gel douche et serviette.
Arrivé aux douches, je me rends compte qu'il s'agit d'une douche commune. Houla, je ne m'y attendais pas du tout. Me retrouver à poils avec d'autres gars.... pourquoi pas, mais pourvu que mon sexe se comporte bien....
je me déshabille donc, et me retrouve au milieu de ses garçons tous nus.l'eau chaude coule sur nous, et nous fait un bien terrible. L'eau ruisselle sur les corps bien bâtis, la mousse glisse sur les hanches, le long des fesses. Mon coéquipier est près de moi et se savonne vigoureusement. j'aperçois son sexe en mode demi molle et cela ne semble pas le gêner du tout.Je vois des sexes de toutes les formes, des rabougris, des tous fins, des dodus,je pense à la chanson de Pierre Perret, le zizi. I ...

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Mots-clés : Bisexuel, Quadra, Mûrs, Européen(s)