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Vieux souvenirs (3)

Publié par : nudistegva le 19/03/2023



L’été de mes 15 ans, je me suis cassé le poignet droit… passé les premières douleurs, j’ai vite réalisé que je ne pourrais plus faire grand-chose. En particulier me masturber…. Ça a l’air idiot mais c’était une triste réalité… j’ai essayé maladroitement avec la main gauche mais je n’en tirais de loin pas le même plaisir. Pendant un certain temps j’ai continué à faire du nudisme avec mon copain et parfois les deux hommes plus âgés que nous avions rencontrés. En leur présence, grâce à eux, j’assouvissais mes besoins sexuels dans leurs mains ou leurs bouches, parfois dans leurs culs (mais ce n’était pas facile de mettre les capotes avec une seule main)…

Arriva le moment où tous furent en vacances. Resté seul, je continuai le nudisme mais les branlettes étaient laborieuses avec la main gauche seule… et je ne pouvais pas me doigter pendant que je me caressais…. Je commencer donc à me branler dans mon oreiller, que je coinçais sous mon ventre dans mon lit et je baisais à plat ventre dans l’oreiller en me représentant mes fantasmes et en me mettant un doigt de la main gauche dans le cul….. Je ressuscitais. Mes éjaculations étaient délicieuses, elles montaient lentement, abondantes, et terminaient dans l’oreiller. Je prenais ensuite soin de tout bien effacer et nettoyer…. J’aimais tellement que je faisais cela jusqu’à trois fois par nuit.

Ce que je n’avais pas réalisé était qu’une bonne partie du foutre traversait la taie de l’oreiller et séchait sur le tissu du coussin. Un après-midi d’été, j’étais seul à la maison, sur la terrasse, lorsque la femme de ménage de mes parents vient vers moi en tenant dans la main un coussin. Elle s’approche visiblement gênée ou troublée et me montre le coussin… il était maculé d’immenses auréoles jaunes/beiges sur ses deux faces et le tissu était comme amidonné. Je me souviens aujourd’hui encore que j’ai rougi comme jamais dans ma vie, je ne savais plus où me mettre… Cette femme nous connaissait mon frère et moi depuis notre toute petite enfance, nous l’aimions beaucoup, mais elle avait une certaine autorité et surtout, elle était très loyale à ma mère qu’elle informait de tout… Je n’arrivais pas à prononcer un mot… ce fut elle qui brisa le silence, en me disant tout d’abord que je ne devais pas m’en faire, qu’elle ne dirait rien, que c’était très naturel et qu’elle allait essayer de rattraper à la Javel la housse du coussin, qu’elle avait déjà lavé deux fois mais qui restait résolument maculé… Je lui souris, gêné, je ne savais quoi dire… finalement je lui expliquai maladroitement que je n'arrivais pas avec la main gauche et que le coussin était ma seule possibilité et que je n’arrivais pas à enfiler une capote avec une main… elle a souri puis elle m’a demandé si je ne pouvais pas attendre qu’on m’enlève le plâtre… c’est alors qu’elle réalisa que j’en avais encore pour 6-8 semaines… elle me regarda puis me demanda à voix basse si je voulais qu’elle me masturbe de temps à autre…. Je rougis de nouveau, c’était une femme de 50 ans, assez forte, mariée je crois…. Voyant mon trouble, elle me dit « tu sais je ne fais plus rien avec mon mari, pour moi ça peut aussi être agréable et excitant, ça ne me dérange pas du tout… c’est à toi de voir, je vais essayer de laver ce truc à la Javel, je te dis si ça marche »… L’après-midi était assez avancé lorsqu’elle revient vers moi avec le coussin, qu’elle avait presque totalement récupéré. Il sentait fort la Javel mais était globalement blanc… « voilà, c’est pas trop mal, me dit-elle, mais il faut trouver autre chose… tu veux qu’on essaie ? peut-être que je ne suis pas très douée… tu n’as pas encore de petite amie ? » …. Je lui dis que non, je n’avais évidemment pas envie de lui révéler mes jeux avec les deux hommes et mon copain… j’étais gêné mais l’idée m’excitait, j’adorais montrer ma bite dure et qu’on me la touche…. Je sentais du reste que je commençais à bander…

Je fis glisser mon bermuda de bain, qui libéra ma queue déjà mi-dure… la femme de ménage approcha sa main de mes couilles et les excita doucement avec le bout de ses doigts et ses ongles… c’était divin et ma bite monta rapidement en brèves saccades… elle regarda le résultat avec fierté, me sourit et commença à me branler la bite avec l’autre main sans arrêter la caresse des ongles….je regardais ses doigts courir sur ma tige, mon gland devenait de plus en plus gros et rouge… elle leva les yeux vers moi…. « tu veux dans ma bouche ? fit-elle… je dis oui de bout des lèvres, elle se mit à genoux et me prit la bite en bouche…une pipe très différente de celles de mes amis nudistes, beaucoup plus délicate, avec les doigts qui n’arrêtaient pas de m’exciter les couilles. Je la regardais s’activer sur ma queue et je vis qu’elle avait déboutonné son tablier, remonté sa jupe et qu’elle se caressait entre les cuisses en me suçant… elle avait de grosses cuisses, qu’elle avait écartées largement, ...

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