Dans la soirée il me propose d'aller manger à Paris avant d'aller voir le Feu d'Artifice au Trocadéro comme on l'avait prévu, mais surtout de rester en fille. On part donc vers 20 heure après m'avoir refait une beauté. Nous mangeons un hamburger frites sur les Champs, je ne suis pas trop à l'aise surtout que je suis plus grande que lui avec mes talons et même si je suis accrochée à son bras les yeux nous suivent à chacun déplacement. Lui fait mine de rien car c'est une habitude de trouver des filles plus grande que lui. Puis après avoir mangé nous remontons l'avenue des Champs Élysées récupérer la voiture garée vers l'Arc de Triomphe, puis direction le Trocadéro. Au milieu d'une foule compacte on attend le début des festivités, la musique résonne, l'atmosphère est joyeuse, les voix, les rires et même des gens dansent autour de nous, on se sent bien. Puis les premières étincelles brillent dans le ciel, la foule devint compact, les enfants crient leur joie à chaque explosion, cela dure un long moment tous les yeux rivés vers le ciel qui s'illumine de gerbes colorées. Je me tiens pas loin de mon chevalier du soir qui comme beaucoup de monde à les yeux qui brillent aux vues de ces lumières colorées par ces pétards bruyants. Au bouquet final il me tient par la taille pour partir ensemble. Le temps de retourner à la voiture on discute du feu d'artifice qui était splendide, comme d'habitude à Paris.
- C'était chaud, non ? lui dis-je.
- Oui maintenant il fait plus frais, on était super serré.
- C'est pour ça que tu en as profité pour me tripoter, coquin !
- Je ne t'ai pas tripoté.
- Tu rigoles, ta main sous ma jupe pendant que tout le monde regardait en l'air.
- Je te jure, je ne t'ai pas mis de main au cul.
- Tu déconnes, ce n'est pas toi qui m'a tripoté le cul ?
- Non, je t'assure !
- Je me suis fait peloter et même caresser sous la culotte.
- Non ?
- Si, mais je croyais que c'était toi et que tu étais encore excité, te connaissant.
- En tout cas le mec devait bien bander alors.
- Surement, la honte pour moi !
- Pourquoi vu que tu as aimé, même si ce n'était pas moi.
- C'était sympa effectivement pensant que tu te régalais. Mais j'espère que personne n'a rien vu et que tous les yeux étaient rivés au ciel.
- Ça t'a excité ?
- Oui j'ai un peu bandé même.
- Il a dû être surpris quand il a touché ta queue.
- Je pense qu'il n'avait pas trop de place pour passer sa main et sentir ma queue.
Sur cela on rentre dans son nouvel appartement, on prend une douche. On se retrouve ensuite à la fenêtre où on fume une dernière cigarette avant d'aller se coucher, lui en caleçon et moi en nuisette. Je le send se rapprocher de moi et me serrer.
- Alors il s'était serré autant que ça le mec qui t'a tripoter ?
- Je pense.
- Il t'a passé la main ainsi ?
- Oui.
- Il te caressait la raie tu m'as dit.
- En effet.
- Et tu bandais comme maintenant ?
- Presque, ça m'excitais mais je me retenais de bander avec ma jupe.
- Et tu n'as rien fait ?
- Non, car je croyais que c'était toi !
- Sinon tu aurais fait quoi ?
- Je ne sais pas trop vu qu'il y avait du monde.
- Mainten ...

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