Alex et Laurence rentrent d’une mission d’audit à la filiale argentine d’un groupe pharmaceutique, dans lequel ils sont respectivement directeur de la division parapharmacie/ cosmétique, et directrice du développement pays émergents au marketing central.
Laurence, 26-30 ans, est brune aux cheveux courts, grande et élancée, et supérieurement jolie selon tous les standards classiques: des seins menus mais au galbe superbe, des jambes de rêve, des reins et des fesses à faire damner un saint... Elle le sait, et s’habille de façon à mettre toujours particulièrement en valeur ce corps qui plait aux hommes.
Aujourd’hui par exemple, elle porte un léger tailleur gris sur un corsage en soie crème, qui laisse deviner un soutien-gorge pigeonnant en soie lui aussi, bordé de guipure et dentelle de Calais.
Alex, à peine plus vieux qu’elle, a un sourire charmeur, est grand et mince, très intense dans le travail, et apparemment s’intéresse peu aux charmes de sa compagne de voyage...
Laurence, qui espérait un peu une petite liaison avec Alex au cours de ce périple argentin, est un peu dépitée... C’est à peine s’il l’a regardée autrement que comme une spécialiste du marketing des cosmétiques, bien qu’il soit par ailleurs toujours d’une politesse et d’une galanterie de surface absolument exquises...
Elle est bien décidée à le provoquer pendant le vol de retour... Il ne sera pas dit qu’elle aura passé une semaine entière sans quelques frissons sensuels... Elle considère que le sexe est une nécessité impérative pour son équilibre physique et a besoin de faire l’amour au moins trois ou quatre fois par semaine, moyenne qu’elle tient généralement sans difficulté même en voyage... ( au prix il est vrai de quelques étreintes sans grand intérêt avec des journalistes ou des clients, ou de quelques aventures féminines qui ne sont pas sa préférence mais qui lui procurent quand même du plaisir dans la douceur... )
Après avoir laissé son esprit divagué quelques instants sur le souvenir des lèvres de Julie sur son ventre au cours d’un mémorable sauna à Helsinki le mois dernier, Laurence arrête son plan de bataille...
- Alex, peux-tu me descendre ma valise s’il te plait?
- Bien sûr, répond-t-il, en déposant le bagage de cabine sur le siège de Laurence.
- Je vais me changer pour dormir de façon plus confortable, dit Laurence en sortant une longue jupe portefeuille blanc crème, d’un tissu de coton fluide, et qu’elle sait très moulante, un pull en laine à col cheminée très moulant aussi, de couleur pêche... et elle laisse tomber sur le siège d’Alex, comme par maladresse, une paire de bas jarretières noirs et un slip en dentelle de même couleur, roulés ensembles.
- Oh, pardon, dit immédiatement Laurence, émettant en même temps un petit rire cristallin, le plus sensuel qu’elle puisse trouver... tout en rattrapant ses jolis frou-frous le plus ostentatoirement possible.
- Pas de problème
Alex n’a pas bronché apparemment, mais elle est sûre d’avoir aperçu une lueur surprise, amusée et intéressée dans son regard. Il a un bon self-control, mais elle était à l’affut de ce moment, et cela ne lui a pas échappé...
- Bon, à plus tard, ajoute-t-elle
Elle s’enferme dans les minuscules toilettes de l’avion. Heureusement, elle est dans une première classe presque vide, c’est donc tout propre, parfumé, et cela ne la gêne pas de se mettre nue.
Elle attrape une serviette, l’humidifie et se tamponne tout le corps, lentement... Puis elle saisit le flacon de lotion hydratante (fabriquée par sa maison...) et se masse les seins, le ventre, les fesses, les cuisses...
Le stress de cette semaine pleine de tension est encore là. Il faut l’évacuer, vite: sa main s’attarde plus que nécessaire sur son sexe qu’elle oint doucement de lotion, frotte doucement... Ses doigts pénètrent pour une petite masturbation expresse, qui la fait jouir rapidement, appuyée à la cloison, les jambes raidies de plaisir, face au miroir.
La tension atténuée, la voilà presque prête pour des plaisirs plus corsés...
Il ne lui reste plus qu’à se rhabiller, ce qu’elle fait avec sensualité en se regardant dans la glace :
Elle remonte d’abord lentement ses bas « stay-up » jusqu’en haut des cuisses, et ajuste bien la large bande siliconée pour ne laisser aucun pli sur le nylon des bas ni autoriser ses cuisses à faire apparaître un petit bourrelet disgracieux au-dessus des jarretières élastiques un peu resserrées… Tout doit être parfait !
Ensuite, Laurence enfile tout doucement le petit slip : la dentelle fine du devant vient recouvrir sans la cacher vraiment sa toison brune et fournie et ses fesses qui s’épanouissent sous le tissu arachnéen, puis elle ajuste la longue jupe fluide. Le joli petit pull vient compléter sa tenue de femme décontractée mais sexy, prête pour la nuit dans cet avion au-dessus de l’atlantique.
Un dernier regard dans le miroir lui montre que sa culotte noire se devine juste ce qu’il faut sous la couleur crème de la jupe, dessinant un arrondi aguicheur et gaufré sous le fin tissu moulant... Elle prépare aussi la position de la fente de cette jupe, qui, dans la phase suivante de sa provocation calculée, doit s’ouvrir au bon endroit et de la quantité idéale...
- A nous deux, Alex...
Laurence se rassied dans son fauteuil, au bord de l’allée, et s’arrange comme prévu pour laisser la jupe s’ouvrir assez largement du côté droit, que seul son voisin Alex peut voir...
Et comme elle l’avait prévu, le regard d’Alex vient se poser sur la large bande de dentelle du haut de son bas droit et sur un peu de peau nue qui apparait au-dessus, la longue fente triangulaire venant se fermer juste au bas de la culotte, dont Alex ne peut que deviner une fine ligne au début de la fesse.
- Vraiment très joli, dit-il en regardant sa jambe.
Elle a tourné le visage vers lui, et ils se regardent maintenant intensément. Une légère rougeur est venue à leurs joues, ils se sourient...
- Tu es folle, je ne vais pas pouvoir dormir avec ce spectacle sous les yeux, susurre Alex
- J’y compte bien : et tu n’as encore rien vu... chuchote Laurence en retour.
Après le dîner, Laurence prend sa couverture et se livre à une petite gymnastique soigneusement calculée pour mettre son cher collègue dans tous ses états...
Elle déplie donc la couverture, la déploie sur elle en la laissant largement descendre sur le siège côté couloir, mais ne venant côté droit que s’arrêter à hauteur de sa cuisse, visible jusque là. Puis elle positionne son oreiller sur la gauche de son siège, y pose la tête de côté et se tourne légèrement et lentement, de façon à ce que son corps glisse sous la couverture sans l’entraîner, tout en maintenant avec sa main droite le pan ouvert de sa jupe plaqué sur le siège.
Description un peu compliquée et plus longue que la réalité des gestes, qui s’effectuent en quelques secondes.
Le résultat est pour Alex saisissant... Lui qui craignait en voyant la couverture s’étaler de ne plus voir cette cuisse gainée de dentelle, a sous les yeux, en se tournant lui aussi un peu, une superbe croupe revêtue de tulle brodé de fine dentelle ...
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