Histoires de sexe et récits érotiques gay, bi et hétéro

Au milieu du mois d’août, j’ai subi une opération qui devait me soulager de douleurs chroniques qui m’handicapaient depuis des mois. Trois jours après l’opération, j’ai été transféré dans un centre de rééducation afin de retrouver ma pleine mobilité. Le personnel était aux petits soins, je passais la plupart du temps dans ma chambre allongé ou assis et à certaines heures, on me faisait faire des exercices.
Un jour, après le repas du midi, servi dans ma chambre, j’aperçus [......] voir la suite

Martin m’appela en début d’après midi et je me rendis chez lui, avec impatience. Je n’allais pas être déçu du programme concocté. Je refermai la porte de son antre, me déshabillai en hâte et, dans la salle de bains, me maintins nu devant lui, les yeux brillants de l’excitation grandissante à chaque rendez-vous. Le jet d’eau dont il m’aspergea n’avait jamais été aussi violent et aussi chaud. Mon premier réflexe fut de m’en protéger en lui tournant le dos. Après m’avoir [......] voir la suite

En ce mois de novembre 1981, l’espérance était au pouvoir. Cela n’empêchait pas les ondées d’automne de recouvrir les rues de Paris d’un gris pluvieux, peu propice aux envolées lyriques.
En sortant de la station Rennes, je laissais dans mon dos, le priape moderniste, pour l’époque, et je pris la rue Saint-Sulpice. A l’entresol d’un bougnat enfumé, je découvris un hammam-sauna, comme il y en avait tant à l’époque et qui ont disparu depuis. Ma curiosité fut piquée au vif [......] voir la suite

Les jours suivants, je me maintins prêt à répondre à son appel à tout moment : épilation des parties intimes et dilatation de mes bouches. Enfin, il m’appela. En pénétrant dans son jardin, je remarquai sur la gauche, un bosquet de bambou et un plus loin, un Bifora testiculata, espèce rare en nos contrées, il devait être quelque peu amateur de botanique ! Après mon coup de sonnette, l’entrée en matière suivit le protocole convenu. Je refermai la porte, je me déshabillai et nu, [......] voir la suite

Rien ne le distinguait des autres habitués de la rue ; la soixantaine, peut-être plus. Je l’avais croisé à plusieurs reprises, le jour du marché, son panier à provision débordant de poireaux et de carottes. Solitaire, l’air maussade. Il habitait à quelques maisons de mon immeuble. A la réflexion, si je l’avais remarqué, c’est qu’il se distinguait par le fait qu’il ne téléphonait jamais dans la rue, et qu’il n’avait pas de chiens en laisse. Vous avez remarqué qu’on [......] voir la suite

Troisième et dernière partie

Me prenant par les couilles, il me fit relever la croupe et avec son pied m’écarta les jambes. La position n’était pas des plus confortables mais le fin goulot me pénétrait sans effort.
- Alors Martin, tu vas pouvoir le prendre ?
- Oh, putain, si je m’attendais à cela, je vais pouvoir m’y glisser comme dans une biche en chaleur !
Est ce le mot, est ce l’idée ? je ne sais, en tout cas, mon amant me prit la tête entre ses deux puissantes mains et [......] voir la suite

Deuxième partie

-Évidemment ça manque un peu de volume ! mais regardez comme elle est excitée ! et il me tira les tétons en avant.
Relâchant sa prise, il me donna une grande claque dans le bas des reins qui me fit plonger en avant. Je me retins de justesse, les bras tendus, ce qui mettait mon cul à disposition de ses mains. Il me palpa le popotin comme il l’aurait fait d’une pouliche et il m’asséna une volée de coups sur chaque fesse comme s’il voulait les séparer l’une de [......] voir la suite

De temps en temps, je me rends en forêt de Montech, en bordure d’autoroute ; il y a un lieu de rassemblement de gays de plus de quarante ans. Je plais autant aux plus jeunes qu’aux plus vieux, je peux laisser tomber les petites bites et attendre le mec bien monté quel que soit son âge. J’y vais pour me faire prendre mais ça n’est jamais arrivé ; ils préfèrent que je les suce, je m’y plie volontiers, j’aime avoir une queue en bouche et avec l’entraînement, ils peuvent me la [......] voir la suite